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Ecoute
ces larmes, écoute les armes,
Dans un fracas de fric, tu te tapisses tel un tabou,
Dans un fracas de fric, tu te tapisses tel un tabou,
Ta
peau sera enlevée, et en sac transformée.
Tu
te bats pour ton espoir, qui est enfermé dans l'armoire.
Tu
fuis ce bruyant silence, cette sourde danse.
Un
brouhaha brutal quand on te broute le baba.
Tu
es un esclave slave, tu laves et t'en baves.
Jamais
la terre promise, et pas mal de fois on te l'a mise.
Les
crises se répétant comme sur une frise, les deux doigts dans la
prise.
Tu
crois en toi, mais on t'a retiré ta foi, dans le but que tu te
noies,
Et
que t'en recraches ton foie.
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Flagada
et pas farouche, tu as la langue qui fourche.
Maintenant,
gaffe si ça s'fâche, achève les à coup de hache.
Ne
crains plus la terreur, tu connais le malheur,
A
quatre heures ou dans le bonheur, tu es aussi utile qu'une fleur.
Meurs
dans la sueur ou d'un cancer du cœur, sans chaleur et froid de
pâleur.
Tu
es cette lueur qui meurt, cet esclave sans demeure.
Dans
la rue tu leur fais peur, tu leur inspires la froideur.
Et
ce caniveau sera ton ultime tombeau, après tes marmots et ton
boulot.
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"Mélodies des jours sans âme..."
"Perpétuelle
pucelle, la femme de la justice, ne voit en nos actes qu'un portrait
du vice. Si la jeunesse perpétue le culte du précipice alors le
Monde bientôt ne sera plus que vils sévices"
"Petite
crasse calomniée, il parait cruellement que vous collez, la
poussière grouillante dans une casse, pauvre catin qui se décolore,
ta chute sera indolore, tu choiras subitement vers la mort"
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Ne vous engraissez pas trop pendant les fêtes.
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