lundi 24 mars 2014

Là où l'or noir coule, les taches de sang ineffaçables prennent place.

Bonsoir à vous, qui que vous soyez. 

Je suis perdu, nous sommes perdus. Nous nous voulons unis certes, mais à quoi bon ? Nous fonçons tous dans un mur. Un mur doré, qui finalement, va plus nous tomber dessus que nous, nous lui rentrions dedans. Nous n'avons plus de volonté à rien, nous croyons à la possibilité de faire des choix que nous n'avons plus. Alors que les pires régimes s'installent sous nos yeux, nous ne faisons rien. Nous restons désinvoltes. C'est beau la cécité n'est-ce-pas ? Et encore, si nous serions aveugles, nous aurions une réelle excuse. Ici, nous ne sommes ni malades, ni aveugles, nous sommes juste là, nous pauvres consommateurs, à comptabiliser nos centimes en banque, nous faisons et prêtons attention à l'illusion que nous entretenons tous les jours. 
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Un paquebot japonais s'écrase sur une plage déversant des milliards de litres de pétrole sur le sable immaculé... Et alors ?
Un peuple terré au silence sous la poigne d'un Mao qui miaule de plus en plus fort... Vous ne connaissez pas.
Un pouvoir d'expression et de liberté qui se fait voiler, sous nos yeux, là ! Rien ne vous fait réagir non plus.
On vous met un voile sur le visage, on vous passe les menottes au poignet. Vous vous croyez peut-être encore dans Plus Belle La Vie ? 
Vous croyez que tout va bien dans le monde, vous croyez que vous êtes un acteur de l'avenir mondial. Vous croyez, ça oui.
On vous ouvre les yeux et là, vous voyez devant vous, des gens voilés, certains battus à mort, d'autres agonisant, des enfants qui pleurent. Ce sont vos enfants, vos familles, vos amis. Et là vous réagissez ?

Un paquebot japonais, transporte dans sa calle, un peuple terré sous la poigne d'un pouvoir d'expression et de liberté écrasé, on vous met un voile sur le visage, on vous passe les menottes au poignet, vous croyez que tout va bien. On vous ouvre les yeux. Et là vous comprenez le vrai Enfer inter-planétaire. 
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Nous revenons à nos brebis sacrifiées. Rien ne va plus. Après Kadhafi, un nouveau pouvoir tente de s'introduire en Lybie. Quelque chose de plus "charriant" si je puis me permettre. Les hommes à barbe armés sont de retour, déguisés dans leur costumes de présidents, les ayatollahs auront vite fait de remettre leurs pays a feu et a sac.
Nous "délivrons" un pays d'un des ex-ami des américains. Un ami qui avait un peu trop ouvert le bec, narguant, le doigt d'honneur haut, les Etats-unis. Sans savoir, en voulant charrier le compère Sam, notre petit Kadhafi, venait de s'attirer les foudres étoilées du continent opposant. Nous "libérons" donc le pays, puis nous ne laissons entre les mains d'un gouvernement surement, dix fois plus pire que l'ancien. 
Mais qu'y pouvons-nous au final ? Nous pauvres armées irréfléchies. Pauvre peuple sans le droit de vote. 
Les Etats-Unis n'auront plus rien à en tirer, l'Afghanistan leur prenant trop de temps. L'Europe, auto-mutilatrice, en manque de sang et d'argent, demandera charitablement encore une fois un peu de temps avant de relancer son armement nucléaire endormi. 
La Chine, dragon surpuissant, attendrait terré dans sa caverne, que les armées soient sans munitions, que les banques des royaumes soient vides. Que tout ce beau peuple, vienne défier ou admirer les écailles pourpres de la créature furieuse. Et c'est là, que les ailes gigantesques de la bête viendraient battre l'espace. 

Voilà notre solution, voilà la fin de tous. Même les munitions atomiques ou lasers des Etats-Unis ne perceraient pas la peau de la bête. Nous finirions tous assis, la voix nous manquant, admirant la mâchoire de la bête.

A l'aube de la fin du monde.

Salut à vous, citoyennes et citoyens de ce monde.
Aujourd'hui après la déforestation progressive de la foret pubienneAmazonienne. Les vilains hackeurs ont voulu s'en prendre à mon PAUVRE compte facebook...

 Blondes et roux, mères de famille et pères ivrognes, fumeuses d'hortensia et lécheur de cigarettes russes. Ouvrons le ballet ensemble ce soir je vous prie..

 Des nouvelles bien basses de notre bien bas de monde.. Nous sommes là encore, dans notre vilaine crasse. Après m'être presque réjoui, qu'enfin facebook allait être détruit... Et bien non, j'ai pu vérifier que mes 444 pingouins "d'amis" étaient encore là. J'ai pu encore fois regardé les photos de ce mariage, où la femme éléphant a failli renverser de l'eau sur la robe de la poule sur-maquillée. Non, non, je ne divague pas, notre monde est inintéressant. 

 Si je devais faire un petit tour de ces quelques jours... En version un peu décalée...
 Je dirais qu'il ne faut pas charria ! A force de se faire charria, nous allons finir par remettre sous voile nos petits pots de beurre que nous devions apporter à mère Carla.
 Le christ va réussir à enlever les clous de ses mains pour se cacher les yeux, tellement, nos petits catho-scatos, demandent à Marine de se dé-voiler de plus en plus... Ses discours culottées, nous font lever les yeux, mais si seulement elle ne faisait monter que les yeux et pas aussi ses sondages.
 DSK lui s'est fait une raison. La gauche est morte, alors autant profiter un peu d'elle. Elle ne risquera pas de l'emmener en procès, c'est tellement plus simple d'abuser d'une petite femme tremblante et agonisante nous dira-t-il. 
 Sarko se sent pousser des ailes, le redbull fait effet, il a su planter ses graines et ses arguments là où il fallait... Le chou a poussé et finalement, on nous pond en même temps qu'une candidature une marmotte mi hongroise mi italienne. Une spaghetti Spatzeles (recette de nouille hongroise).

 Et nous, nous nous contentons de regarder tout cela... Les yeux ébahis, comme des gamins de 5 ans a qui l'on vient de tendre une sucette en forme de chat. On croit toucher à la plus belle merveille du monde, constatant qu'elle entraînera des caries redoutables par la suite.. Et oui il est temps d'ouvrir les yeux. 

 Nous ne jouons aucun rôle sur terre.
Le RSA existe pour que les plus pauvres puissent consommer. 
L'opposition existe pour nous faire croire à une différence.
La Télé-réalité et l'Or n'existent que pour nous abrutir, et nous faire croire que tout ira bien. 
Nous ne sommes plus uniques. La mode a tué l'unicité. Nous nous ressemblons tous. Vous, moi, eux. Qui sur ce monde se sent différent ? Tous hypocrites. Nous sommes des oiseaux sans cervelles attirés par le grain d'un grand méchant loup, qui resserrera ses griffes sur nous. Nous dévorant par la suite. 

 Carte bancaire, souffles et sueurs froides, retards au travail. Voilà votre vie. Oubliez votre maison, oubliez votre voiture. Oubliez votre pouvoir, sentez-vous seuls dans des bois froids. Vous ne savez pas survivre. On vous pré-mâche tout. 
 L'Homme a dû depuis sa pseudo-création, survivre, se déplacer, arpenter pieds nus ses terres. Chasser, se battre. Aujourd'hui, faites le tri. Vous sentez vous survivre, ou alors essayez-vous de vous convaincre que c'est encore une histoire de vie ou de mort ?

 Ma survie c'est mon âme, je l'ai brûlé il y a longtemps dans l'alcool avec Amen. Des récits d'alcooliques, de pervers, de geeks, de soldats, de politiciens, de prêtres, qui sommes-nous ? Qu'est ce que cela vous apporte, nous sommes tous soldats pour l'oeuvre de notre vie.
 Il suffit juste de vouloir regarder plus loin que ses habitudes, affronter le soleil du regard, et se dire que de toute manière... Nos existences insipides, ne seront que des dettes à nos petits-enfants.. Que des brassées d'air. Nous pouvons tous marquer notre planète autrement qu'en la détruisant. Qu'en votant chaque jour pour un monde de plus en plus scandaleux.

 Tous les jours, frères et soeurs. Nous vendons nos familles aux politiciens.. Le vouliez-vous ? Non, vous n'étiez pas au courant. Les anti-fatalistes ont sûrement déjà du arrêter de lire. C'est trop tard pour les autres. Mettez-vous a cogiter allez-y. Regardez ce que vous a apporté la vie. En quoi vous sentez vous grands... ? Admettez que vous n'avez pas d'ailes dans le dos..

 Nous ne sommes pas uniques... Nous ne sommes que la merde de ce monde, prête a tout pour servir le caprice d'un tyran.. A vous, lecteurs.. Battez-vous. Chaque souffle peut changer le monde. Il suffit juste de savoir quelle dune déplacer..

La fuite du Grand Méchant Tabou.

Petites innocentes et Petits agneaux... 
Rieuses et Rieurs, Pleureuses et Pleureurs.

Faisons un point dans ce bas monde... Comment évoluons-nous... Comment nous distinguons nous.. Ou du moins par quel moyen y parvenons-nous... Cetains progressent ou regressent grâce à leur situation financière, à leur statut social, à leur niveau de culture, d'éducation scolaire (si on peut encore parler d'éducation et non de bourrage de crâne)...

 Les gens peuvent aussi se distinguer en fonction de leur décalage humoristique... Et c'est d'ailleurs sur ce point que je pense insister. Les autres étant à la portée matérielle et physique de presque tous... 

 Humour... Décalage. Des termes durs à saisir et à maîtriser puisqu'ils dépendent finalement des goûts de chacun. Il y a la notion de plaire. Il y a la notion de dégoûter, la notion de fixer l'attention, la notion d'instruir, la notion de divertir, la notion de donner un avis par un état d'esprit... Nous sommes tous égaux dans la crasse. Mais finalement égaux dans la manière à nous distinguer des autres. 
Humour fin, humour gras... Certains vont apprécier et d'autres vont vraiment disclaimer. Cependant cette notion de choix est tenue de mon avis par un certain tabou. Tabou ou complexe tel que vous le souhaitez. On ne peut apprécier ce qui nous vise, ce qui nous juge, ce qui nous concerne d'un point de vue venant d'une part ou d'autre. 

Quels tabous peut-on fixer de base... Le sexe, le poids, la taille, la religion, l'origine, la famille, le travail, la ou le conjoint(e) voire les deux si vous êtes polygames. Bref... Une liste d'ennemis ou d'amis, cela dépend pour qui...

J'explique mon idée. Quelqu'un de gêné, qui ne comprend pas ou qui n'accepte pas que l'on puisse rire de la religion (par exemple) va forcément réprimer et disclaimer une blague un peu réaliste  décalée quant aux excès de certains amis du clergé avec les petits enfants du cathé (je cite bien évidemment). 

Tout part d'un tabou ou d'un complexe. Normalement et imaginez, un monde delesté de tout tabou. Les gens se baladeraient nus, riraient de leur famille, de leurs proches, de leur conjoint(e)... Plus de tabou, plus de limite à l'humour. Cependant si nous pouvions TOUS rire de tout, aucune distinction ne serait plus faite. Il n'y aurait plus les pervers, les idiots, les anti-religion, les blaireaux, les kékés... Plus d'humour fin... Plus d'humour gras...

Nous serions tous sans tabous, puis finalement, sans tabou il n'y aurait plus d'humour a créé, puisqu'il n'y aurait plus rien dont on ne pourrait rire de désaccord. Nous ferions des débats pour parler de telle ou telle chose... Bref, un gros délire bien sectaire. Donc finalement que faudrait-il faire... ?

Garder ses tabous bien au chaud, ne pas refuser de rire à gorge déployée devant une blague un peu en dessous de la ceinture, accepter la critique, accepter l'humour des autres... Mais cela serait encore une utopie... Donc non... 

 Changez ou ne changez pas... De toute façon... Satisfaction totale ne pourra pas exister tant que l'homme, finement éduqué ne cessera de se contredire et de ne pas rire d'un peu tout...

 Une personne n'ayant aucun tabou, peut s'avouer maîtriser l'humour. Il ne craint plus aucune critique. Il est le vrai vainqueur de toute bataille... Et vous... Avez vous deja essayé de vaincre tous vos tabous... ? 

La lâcheté a un visage

A vous qui lirez ça....

 Voilà, le tour est joué... L'arroseur arrosé. Nos états aussi comptent alors voici le vif du sujet. Je vous ouvre mon coeur, mon âme. Je laisse cette fumée noire quitter mon état... Bonne noyade...

Désastre, cadavre et mirages...
Les plus beaux mensonges 
Traversant déserts et âges...
Plus rien ne vaudrait le moindre songe.

Je suis l'âme égarée 
D'un de ces errants
Qui vient de perdre une terre irigée
Perdant à peu près son titre de vivant.

Vous vouliez trouver ma faiblesse
Au fur et à mesure que l'on me délaisse
Je perds confiance et espoir
Aucun cauchemar plus pire qu'un miroir

A toi déchet humain
Tu ne sais plus te servir de tes mains
A dépendre de tes sentiments
Tu découvres le pire des amants...

Fine joueuse et terrible poison
Paranoïa et Jalousie
Vous avez fini par avoir raison
L'un crée le doute, l'autre cache votre vie

Vous voila fieres, dignes pecheresses
A démollir une vie de paresse
Vous noyez mon âme
Devastez et émousser ma lame

L'arroseur arrosé, cherchant la faille
Parfois lui aussi son chemin déraille
Allongé, délaissé, tué, éventré
Rayé de sa voie par un simple trait

A toi, maitresse de mon humeur
Tu vois aujourd'hui, moi aussi meurs.
A chaque lame, vient chaque couteau
Et aujourd'hui ma flamme s'en retire dans son étaut

Je fus le fier chevalier
Jusqu'au lamentable destrier
Du pommeau à la lame
J'ai perdu mon âme...


Aucun mot ne répondraient mieux à cette détresse. Jack s'en retourne dans son océan de maladresse... Dans la nuit et dans la tristesse.

Démonstration de Démocratie ?

 Amies démocrates et Amis démocrates,
Défenseuses des libertés et Protecteurs des droits,
Bonjour à vous, qui que vous soyez...

Nous revoilà ensemble, égaux, en droits, libres... Je me répète, nous voilà, ensemble, hypocritement, en droits, libres et égaux... Pas beau le lavabo...
Aujourd'hui, vous l'avez bien compris, je m'attaque ouvertement à ce que tout le monde appelle, la vie en démocratie... Je suis français donc je vis dans un pays démocratique... Et puis quoi encore... ? La démocratie... 
Quel beau nom, pour décrire cette situation, dans laquelle un peuple gouverne et dirige son pays, le peuple est souverain... Cela par le biais de principes philosophiques et politiques... Cependant, ce régime politique, qui nous paraît si libre... N'est-il pas finalement utopique ?
Je m'explique... Tout bêtement, aujourd'hui même... Nous, français pouvons-nous réellement selon la définition donnée par le dictionnaire, diriger comme nous le souhaitons le pays... Sommes-nous les maîtres des décisions prises tous les jours...
Je viens par critiquer la démocratie, car je ne me suis pas retenu sur les gouvernements totalitaires... Donc quite à frapper là où ça fait mal, autant frapper toutr la fraterie des gouvernements...
Alors certes, oui certes, je vous l'accorde, vous êtes bien contents de croire à une démocratie... De croire que vous êtes encore mâitre dans "votre" pays... Et c'est là que tout commence à clocher...
 Je ne suis pas entrain de critiquer nos dirigeants non... De toute manière, comme tout bon régime démocrate, il est vrai qu'ils nous écoutent tout le temps... Ou alors tout l'inverse...
Allez-y amis, ensemble nous allons rentrer dans le détail... Pur et brut...
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Donc comme définie précédemment, la démocratie est donc un régime politique, dans lequel le peuple est totalement souverain... Démos pour le peuple Kratos pour le pouvoir, merci les grecs...
Seulement, je ne comprends pas... On vote certes, mais c'est la seule chose que nous décidons finalement... Et encore, je dirais en précisant que nous votons seulement pour qui nous manipulera le mieux... Magnifique n'est-ce-pas... L'illusion du contrôle... Vous y avez cru ? Bien fait pour vous... 
Ne remerciez pas les gouvernants de vous traiter comme des sous merdes ( ce que certains sont réellement d'ailleurs... ), ils ont raison les fous... Vous êtes les seuls responsables de cette anti-démocratie... Un président, qui possède tellement de pouvoir, qu'il peut a tout moment demander à l'armée de venir chez vous, massacrer vos parents, violant vos soeurs et vos étagères... Bref.
Le pouvoir est encore une fois possédé par une seule personne... Certains diront, mais nous l'avons élu ! Bien sûr vous l'avez élu, mais lui, n'a surement rien fait qui vous plaisait depuis... Des réformes stupides, des hausses de salaire ( seulement ceux du cercle privé de Mr le président... )... Et en contre partie, votre "pouvoir" à vous, peuple... Il est de zéro... Un peuple de Zéros.
Les manifestations et les blocus n'aboutissent en rien... La preuve, on vous écoute tellement, que ce sont les chiens du président qui vous mitraillent avec flashball, canon à eau, et j'en passe, cela pour que vous fermiez votre gueule et que vous rentriez chez vous regarder TF1... Un bon système démocratique, qui repousse et réprime l'expression du peuple, de plus prônant un idéal de pensée... Et vous croyez encore en la démocratie... La sainte mère de l'égalité... ? Je vous applaudis, félicitations, vous êtes bien cons... 
Avouez que vous êtes auteurs de votre propre tombe, cependant si vous êtes là à me lire, à m'entendre... Il n'y a pas tout à refaire... La preuve même, vous en venez à dénoncer cette pseudo-démocratie... Dont chaque réforme, vous rapproche un peu plus du sol.... Dont chaque taxe mise en place par l'élan démocrate de l'Etat, vous ruine de plus en plus...
Beau mensonge cette démocratie... Ou en tout cas, bien joué à ceux qui l'ont mise en place... Leur coup fonctionne encore maintenant...
Des injustices écrasées par la censure et la répression... Non non, je n'exagère pas, demandez à Sarko la façon dont il refoule ses bons amis du salon de l'agriculture "Casse toi pov'con." Si l'homme avait voulu le poing, les macaques du plus grand nain français l'auraient surement mis en pièces... Belle image du pouvoir populaire...
C'est beau de croire au pouvoir du peuple,mais c'est faux... 
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Cependant, on pourrait dresser la liste des droits invétérés d'une démocratie... 
Alors je cite... Vous êtes les acteurs de la vie politique de votre pays... Humhum...
Vous pouvez décider des directions que prend le gouvernement... Et les manif' c'est du vent ?
Et pour finir, vous avez le droit de vote ! Mais pour voter quoi... ? Ou enfin pour qui pardon... 
Honnêtement... Un pays gouverné par un seul homme, élu ou pas par son peuple, utilisant une police pour réprimer, ne permettant pas aux arguments publics d'intervenir dans la mise en place de réformes... Ne serait-ce pas une dictature ? Ou un système totalitaire... ? 
Finalement, comme l'a dit un vieux sage de mon entourage.... "Le droit de vote a deux fonctions... Voter pour celui que l'on veut voir gouverner... Ou alors voter contre celui qu'on ne voudrait pas voir à la tête du gouvernement."
Effectivement, nos droits finalement seraient plutôt des moyens d'exclure ceux que nous ne supportons pas... Mais pas de choisir, nous restons "esclaves" d'une seule personne... Et même pire, esclaves d'un groupe de personnes ! Une petite oligarchie... De cadres pourris, de nabots pas beaux et de mannequins stupides et anorexiques. Félicitations... Encore ! 
Et à cette liste de droits minables, vient s'ajouter la déclaration des droits de l'Homme et du Citoyen, dans laquelle est bien déclarée : les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droit... Mais pour qui sommes-nous pris ? Je ne me sens pas égal à un membre du gouvernement... 
D'ailleurs aucun des articles n'est potable... Tous sont faussés, tous sont utopiques, trop beaux pour fonctionner... Nous vivons dans une illusion de A à Z. Démocratie sans portée ni valeurs... Menteurs pour menteurs, pourris pour pourris... 
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Si l'on pouvait réellement dresser le portrait d'une démocratie, ça ne serait cependant pas dans notre Europe, on a beau le croire et le dire, non, nous ne sommes pas dans des régimes démocratiques... 
Le jour où le gouvernement tremblera sous la voix du peuple et non pas l'inverse... Là, nous serons réellement dans une démocratie....
Cependant, nous sommes encore là, nous, ensemble, à m'écouter débiter ce que vous ne voulez pas croire... 
A très bientôt... 
"Avoir des esclaves n'est rien... Mais ce qui est intolérable, c'est d'avoir des esclaves en les appelant citoyens."
Denis Diderot

Le devoir, le rôle et le contrôle.

Lectrices et lecteurs,
Humaines et Humains, 
Partisanes des notions et Partisans des principes,

Aujourd'hui, je vous remets en question directement. Ce n'est pas compliqué pourtant, je vous le dis clairement. Comment en sommes-nous arrivés là... Vous allez vite vous demandez pourquoi ce titre saugrenu, sans aucun jeu de mots. Pas de poésie, pas de rime, rien. Honnêtement et en différence des autres articles, je ne me suis pas cassé le cul pour le titre.
Donc voilà, je pense qu'aujourd'hui va être une sorte de révolution. J'en ai marre d'écrire en lyrrique si personne ne comprend ou même fait l'effort de lire... Cela serait pourtant un Devoir.
De plus, alors que je parle d'écrit lyrrique, je me dis que nous, nous écrivons... Et que peu ou alors que certains lisent nos articles, je ne vois donc pas à quoi je sers... Cela serait un Rôle.
Et par ailleurs, je me dis que si j'arrivais à vous attirer réellement, de sorte à ce que tous les jours vous veniez ici pour lire un de nos putains d'articles, je serais plus heureux... Merde, ça c'est le Contrôle.

Donc oui, aujourd'hui on va faire dans le nouveau, et cela ensemble... Comme un mari attende de sa femme qu'elle lui caresse la nouille de temps en temps, ou alors qu'une femme au foyer attende des autres membres de la famille qu'ils se bougent pour participer aux taches quotidiennes, j'appelle dès le début au point de vue de chacun. Que chacun se dise dès le début, de qui sommes nous-dépendants, pour qui agissons-nous, pour qui avons-nous une importance et finalement, que maîtrisons-nous. 
En revenant au titre, finalement, je me dis qu'il est pas si neutre et si stupide que cela. Effectivement, ces trois valeurs sociales et hiérarchiques sont bien liées... Je dis "valeurs sociales" car effectivement, les hommes et femmes ( merde au protocole)  se vouent et se voient obligés de dire que ce sont elles qui définissent "l'équilibre social". Quand je parle d'équilibre social, je vois par là, la notion de juste partage, totalement inadaptée à la position réelle de chacun, homme ou femme, gamin ou gamine, patron et employé. Je reviens donc grâce à cela, à l'intelligence même de l'article "XVII Viols impunis" que mon cher ami Amen a écrit.
Effectivement ( je le cite réellement car la vérité de cet article devient pour moi une Bible ), l'égalité de chaque individu est une connerie monstrueuse, donnant à ceux qui ont moins de chance que les autres, d'être égaux aux autres ( Il n'y a d'ailleurs que dans cette connerie de Droits de l'Homme et du Citoyen que ça existe ). Nous sommes tous différents, incovénients ou avantages. N'allez pas me dire qu'un enfant naissant dans un Bidonville et un autre naissant dans un drap en satin aient la même chance, je vous traite directement d'abruti. 
Donc voilà, aujourd'hui, je me lance dans cet écrit car, je ne suis pas d'accord, avec ces trois notions sociales. Bien sûr, j'accepte plus ou moins qu'on me dicte encore la conduite à avoir, mais cela n'a pas une durée éternelle, rira bien qui rira le dernier. 
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Tout d'abord, je ne vais pas reprendre l'ordre exact du titre de l'article. Ce qui fonde le contrôle et le devoir c'est avant tout le rôle. Je vais donc commencer par critiquer la définition du rôle même. 
Donc pour commencer tranquillement, je suis allé chercher la définition de rôle, je vous la donne. En sociologie, le rôle représente la manière dont un individu doit se comporter pour être en adéquation avec son statut et ainsi pouvoir être intégré au sein de son milieu social. Ce sont les comportements attendus d'un individu ( définis par les normes sociales ), dans l'exercice d'une fonction qui renvoie au statut social, par le reste du groupe. Merci Wikipédia.
Donc voilà, comme quoi, mon point de vue personnel rejoint vite la définition de base ( en notion de terme et de réalité ). Il y a les valeurs sociales ( appelées normes ici ), la notion de devoir... Bref, ma marginalité ne peut pas être appelée juste opposition, car j'ai des arguments.
Donc finalement, je, vous, nous, avons un rôle prédéfini. J'éspère que mon putain d'entourage va le lire ça. Parce que c'est une révolte oui. Personne ne connaît mon identité, enfin presque, mon âge reste indéfinissable. Cela car ma liberté de réflexion est à base d'un système humain et non pas limitée à un âge précis. J'emmerde donc les aprioris.  
Voilà, donc ma théorie va surement emmerder tous ceux qui ont une place quelque part et qui disposent ( ou qu'ils croient disposer ) d'une notion de contrôle par rapport aux rôles des autres. C'est d'ailleurs marrant que contrôle soit composé de cont et de rôle. Simple coïncidence peut-être. Si on regarde de plus près, le rôle serait donc esclave du contrôle et du devoir. 
Quelqu'un ayant un rôle basique, pourrait représenter l'employé de base, qui en a marre mais, qui est tenu par son devoir et par le contrôle d'un supérieur, alors qu'il pourrait être quelqu'un d'autre. Ou alors de l'enfant de base, qui a envie de grandir, qui le peut, qui le montre et qui ne peut pourtant pas, juste à, cause de son âge. 
Bref, par cette notion de rôle, nous sommes voués à être pour les autres, encore une connerie par rapport à la notion de liberté que possède un être humain ( référence à XVII Viols impunis encore ). C'est ci que ça commence alors. 
Mon rôle n'est pas de plaire ni aux normes, ni aux autres, mais de faire ce que moi, je me voue de déclarer comme rôle dans ma vie. Si ça doit être de faire le pitre, je le ferais, idem si ça doit être de continuer les articles, je le ferais. Bref. On "n'est" donc que par rapport aux autres, ça voudrait presque dire qu'on est rien seul... Belle connerie encore de n'être que par rapport aux autres. A la base on n'est/naît pour un autre et par contre on crève seul... 
L'apparence devient le rôle, le soi devient la réalité. On est pas d'accord mais on dit rien. Alors je vais faire mon rebelle, je vais être moi tout en ayant pour rôle de pas convenir à une majorité populaire. J'emmerde la définition, j'emmerde l'idée que tout le monde a. Mais au moins, moi je conviens à une réalité. Et encore il faudrait que chacun ait sa réalité et ça lance dans un autre discours...
Bref, la notion de rôle s'arrête ici, avec pour définition commune, le fait de répondre aux attentes des autres.
"La vie c'est un peu comme un film... Les uns ont les premiers rôles, les autres un petit rôle de rien du tout."
Quino, auteur de Mafalda.
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Après le rôle, vient très vite la notion de devoir... Je vais donc vous donner la définition de devoir pour qu'aucun malentendu puisse être interprété. Le devoir correspond à ce que l'on doit faire selon la loi, les convenances et la règle. Bravo, encore une fois, c'est par rapport aux autres. Et aussi par rapport aux normes.
Donc clairement ça veut dire, que le rôle définit le devoir. Si on poursuit en revenant sur le rôle, ça veut dire que le rôle défini par des personnes définit un devoir... On nous berne depuis le début. Voilà, je n'ai pas d'excuse pour m'enlever un devoir lié à un rôle social ou hiérarchique. Je ne supporte juste pas d'être comme beaucoup, classé par étiquette avec une place précise ( un rôle précis finalement ), faisant fonctionner la machine Système. 
Le travail personnel commence maintenant, ici, parce que finalement, tel que le dit clairement William Ernest Henley " I am the master of my fate, I am the capitain of my soul ". Le maître de son destin et le maître de son âme... Ca parait certes, très utopique, seulement, on devrait si l'on en croit les valeurs humaines et si l'on en croit la liberté, n'avoir aucun rôle défini. C'est là, que vous tombez de votre petit équilibre de merde. Oui, vous avez toujours cru à une utopie, non, votre patron n'éprouve aucune égalité face à vous.
Ce à quoi vous croyez en fait, c'est à cette notion même de devoir. " Je dois les apprécier ", " Je dois être hypocrite ", " Je dois faire mon puissant ", " Je dois faire mon soumis ". Finalement, vous n'êtes pas libre, ni mâitre de votre destin ou capitaine de votre âme, vous n'êtes qu'un con. Comme tous les autres, qui ne fait que subir. Un petit esclave d'une multi-nationale. Vous n'y pouvez rien ou presque rien. Vous avez le devoir de ne rien y pouvoir. 
Voilà, la notion de devoir, qui paraît si courte, est en fait la simple réalité d'un Système qui se veut de bien fonctionner. Ou alors qui fait croire que tout va bien. Vous avez le devoir de rester chez vous, de ne rien dire à personne. 
Vous n'êtes pas un citoyen, vous êtes les bras des esclavagistes, vous êtes le gode-michet de la prostituée. Je dis prostituée car de ce petit équilibre, vous prenez presque du plaisir à être utilisé. Pour faire une petite comparaison avec le  sex toy, vous restez bien droit. Toujours obéissant, votre attitude reste la même tout le temps. Et le jour où vous molissez, on vous balance et on rachète un autre.
Si cela ne vous suffit pas pour vous faire réagir, je ne vois plus ce que je peux faire. Ni même quel est mon vrai devoir par rapport à mon vrai rôle, et surtout par rapport à vous.
Donc voilà, maintenant, vous vous débrouillez face au devoir... Parfois sans avoir une résponsabilité, le devoir vient vite avec, c'est dommage. Ca donnerait surement à certains envie d'avoir des responsabilités. 
" Le devoir c'est d'aimer ce que l'on se commande à soi-même. "
Goethe.
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Pour finir enfin, je me lance sur cette notion brute et violente de contrôle... Et comme pour les autres, je vous donne la définition... 
Le contrôle correspond à la maîtrise, à la possession de la commande de quelque chose ou de quelqu'un. Pour reprendre l'exemple de la prostituée, vous n'êtes donc que l'objet de quelqu'un. Le hochet d'un bébé, le flingue d'un tueur en série. Vous ne réfléchissez pas, vous agissez. Et c'est ici, qu'intervient bien rapidement la notion de " Tu remets en question mon contrôle ? Alors tu es viré. ". Voilà comment fonctionne le contrôle. 
Il suffit d'avoir un rôle ou une responsabilité dite comme supérieure et l'on obtient le contrôle. Ensuite toutes les rébellions sont vues comme marginales et inadaptées " Vous me dîtes que moi, votre patron, suis cruel envers vous... ? Alors vous êtes virés. ", " Si ça ne te plait pas de participer au maitien d'un idéal et d'une possession commune, j'en ai rien à faire. Tu participes et tu rentres dans le rang. ". Et malgré ça, nous continuons de maintenir et de croire que cette parole est légitime... 
Nous sommes vraiment des cons et des abrutis. Nous sommes devenus et acceptons le fait d'être esclaves.  Et bien là, je vous dis merde... Non, ce n'est pas normal qu'on en soit rendu là... Et cela vient finalement de nous même. Nous préférons être esclaves que d'assumer prendre des responsabilités et des décisions. Félicitations. 
Seulement, nous avons le droit et nous l'aurons pour un moment de dire non à cela. C'est une liberté à prendre. Ne vous dîtes pas que " Ca ne marcherait pas si chacun était libre ", vous ne savez pas si ça ne fonctionnerait pas car vous ne le savez pas. Alors maintenant, vous avez les dés en mains. 
A lier rôle, devoir et contrôle, finalement, on définit vite ceux qui durant notre vie nous marquent... Patron, Parents, Directeur, Chef, Président... Et j'en passe. Seulement, le problème vient du fait que beaucoup n'ont pas conscience du fait que ces trois mots ont et ont toujours eu une limite. 
La limite est en vous, seulement oserez-vous la dépasser ? 
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Au lieu de continuer à écrire, je pense vous avoir donner suffisamment d'élément pour vous même vous demander ce qui ne va pas et ce qui pourrait aller mieux, et de quelle manière...
Cependant vous voyez bien vous-même. Les trois vices de la liberté et de la responsabilité sont finalement les définitions que nous avons donné pour le rôle, le devoir et le contrôle. Sans même les lier en conclusion, vous avez compris que les trois dissociés et définis tel qu'ils sont utilisés tous les jours, sont des erreurs et des manières de profiter amplement des autres.
" Si vous arrivez à contrôler le processus du choix, vous pouvez contrôler tous les aspects de votre vie. Vous trouverez la liberté qu'amène le fait d'être responsable de soi-même. "
Robert Bennett

Un soupçon de totalitarisme en trop...

Amies lectrices et amis lecteurs,
Fulgurantes penseuses et fulgurants penseurs.

Bienvenue encore à vous, ici, entre ces quelques lignes.... Si libres.
Pourquoi parle-je de liberté si brusquement me direz-vous... ? Sûrement car nos lignes ne sont pas encore menaçantes pour personne, qu'elles ne dérangent pas encore ceux qui sont visés, ou qu'elles ne le seront peut-être jamais ou bien... je ne sais pas... Tout dépendra de l'effet de propagande que produiront vos douces voix en élançant le nom de notre petit blog à toute une foule en liesse, n'attendant que la parole d'innocents petits agneaux, leur permettant de s'élever au-dessus des nuages de la tranquillité et de la paix intérieure ! Je divague...

Bref, comment pouvons-nous démontrer que nous jouissons encore d'une totale liberté de parole, d'écriture, de pensée et presque (oui presque) d'apparence extérieure ? Derrière ces quelques lignes dis-je, nos âmes critiques, continuent de s'exprimer librement, nous plantons nos couteaux manuscrits dans le dos de qui nous plaîra et de qui ne nous plaît pas, en fait et surtout... Ou bien, nous vous incitons continuellement à réfléchir de vous-même et à vous forger votre avis, en toute circonstance, quand il vous chantera de le faire et sur qui ou sur quoi vous le voulez... Une pleine liberté de réflexion, le droit qui devrait sûrement être l plus sacré à nous tous.

Cependant, pouvons-nous affirmer que cette "liberté" d'expression soit définitive ? Ne va-t-on pas un jour, mettre aux fers notre parole, emmurer nos âmes et nos pensées... ? Ne serons-nous pas des victimes du déspotisme chronique de nos politiciens ? Ne finirons-nous pas un jour esclave d'une seule façon de penser, comme le sont la plupart des religieux pratiquants et intégristes ? Sans faire de généralité, chaque
culte, chaque mouvement de masse, nous "manipule" sous un certain totalitarisme.

 Pour exemple, je me sers de la mode... Les grandes marques nous incitent facilement à porter un vêtement particulier en le définissant tel qu'en vogue, de la même manière, notre esprit simple et crédule pourrait facilement se plier à une volonté cette fois-ci politique et accepter que telle façon de penser serait faussée. Voilà, la façon douce de manipuler un peuple de personnes crédules...
      De même, je pourrais poser mon regard sur les religions... Une idéologie, un dogme, des sanctions... Et si Dieu était pour le régime totalitaire ?!
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Cependant, si toutes les manipulations étaient si simples, je ne serais pas là à vous écrire ces quelques lignes. Je ferais partie de cette majorité déconcertante de citoyens débilisés-type, obéissant au doigt et à l'oeil, tel un bon chienchien à son papa, à toutes les conduites et moeurs les plus stupides prônées et dictées par un gouvernement totalitaire.
C'est ici qu'intervient le coté brutal et la mise en place minutieuse d'un régime totalitaire. Pour mieux comprendre ceci, il faut s'intéresser à la vraie définition du totalitarisme. 
Le totalitarisme  est le système politique des régimes à parti unique, n'admettant aucune opposition organisée, dans lequel l'Etat tend à confisquer la totalité des activités de la société. Concept forgé au XXe siècle, durant l'entre deux guerres.
 L'expression totalitaire vient du fait qu'il ne s'agit pas seulement de contrôler l'activité des hommes, comme le ferait une dictature classique : un régime totalitaire tente de s'immiscer jusque dans la sphère intime de la pensée, en imposant à tous les citoyens l'adhésion à une idéologie obligatoire, hors de laquelle ils sont considérés comme ennemis de la communauté.
Les caractéristiques habituellement retenues pour caractériser le totalitarisme sont : une idéologie imposée à tous, un parti unique contrôlant l'appareil d'état, dirigé idéalement par un chef charismatique, un appareil policier recourant à la terreur, une direction centrale de l'économie, un monopole des moyens de communication de masse et un monopole de la force armée...
rquoi les choses en Chine ne bougent pas... Qui va contre le gouvernement est tué, qui ne respecte pas l'idée d'un règne dictatorial et totalitaire est tué. Cela fait beaucoup de morts pour une attitude simplement déspotique par la tête d'un pays. Tenant de la folie sûrement, les quelques régimes totalitaires sont pourtant acceptés au sein des réunions des huiles mondiales.
Nos accords économiques continuent de se multiplier, je cite bien évidemment la multiplication par 3 des exportations de la France à la Chine entre les années 2009 et 2010... Notre terre d'exil est donc totalement d'accord avec le gouvernement chinois... Ou du moins, le fait qu'un peuple soit écrasé (internet bloqué, presse censurée, penseurs décapités...) ne gêne en aucun cas nos échanges économiques de prospérer. 
Que faut-il comprendre de cela ? Que nous sommes tous aveugles à la situation des autres, que le totalitarisme est donc un système normal pour nous. Ouvrez les yeux, arrêtez de tout voir d'un oeil neutre, osez un peu penser de vous même, ou alors faut-il que vous vous retrouviez dans leur situation pour réagir ? Eux, sont dans la panade, et les pays extérieurs ferment les yeux. Essayez de vous investir une fois dans votre vie ! Cessez d'être écrasés ! Comme si nous vivions dans une situation de totalitarisme ! Effectivement, chez nous France, un régime totalitaire n'aurait pas grand chose à nous imposer. Nous gobons tout, nous sommes des marionnettes de A jusqu'à Z. 
J'applaudis gaiement à la santé des abrutis de TF1 qui croient chaque soir que le monde est encore rose, que l'Europe gère tout, que nous sommes intouchables. Une propagande débilisante, le prochain régime totalitaire pourrait s'installer en France sans difficulté, et grace à qui ? A vous, à nous. Mais continuons à rester le cul sur le canapé, après tout, votre petit confort vous satisfait, du moment qu'on ne vous enlève pas cette saloperie de TF1, le monde pourrait s'écrouler sous votre fenêtre, vous continueriez d'applaudir bêtement les salades que vous mangez.

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Et si justement, en France, cela devrait se produire... Comment cela se passerait-il ? Serions nous comme dans le film Fahrenheit 451, soumis à des interventions d'une police anti-culture brûlant les livres, et exécutants les penseurs ? Serions-nous enfermés et fouettés à mort si nous pensions autrement que le voudrait l'état ? Voilà une écriture romancée de la façon dont j'imaginerais ça.

  13 Septembre 2029, je continue d'écrire illégalement ce journal, pour ne pas devenir comme tous les autres, des marionnettes de ce système, obéissant à cette police fasciste. Comment résumer les derniers évènements... Cela fera bientôt 3 mois que le Gouvernement Totalitaire de l'Empereur Kozy Ier a pris les pleins pouvoirs. Nous sommes tous plus ou moins en proie à son action.
Finalement, tout était prévisible, TF1 est devenu il y a de cela un an, TPF, Television du Peuple Français, les gens se mettaient de plus en plus à regarder cette foutue chaîne. Des messages rassurants et flattant le peuple étaient diffusés par des anonymes. De plus en plus, nous devenions esclaves de cette propagande, nous dressions une image magnifique et grandiose de ce flatteur. Tous ne gobaient pas ses mensonges, j'en faisais sûrement partie. 
Puis un jour, des troupes ont débarqué dans les rues, les sirènes rugissaient, nous étions là, devant nos téloches, comme des vaches sacrées, un plan de tranquillité nous était dicté pour que tout se passe bien. Les portes volaient en éclats, des soldats armés pénétraient dans chaque maison, dans chaque appartement. Ils vidèrent nos étagères de livres. A mon avis, ils ne furent pas déçus du voyage, seuls les magazines de la Méga Société Ikea occupés les armoires des gens, ou les revues pornographiques... Au choix. 
Une fois avoir vidé nos maisons des documents manuscrits, ils collèrent des affiches d'un homme. Le regard biaiseux, le front large, une calvitie prononcée, son nez devait faire le quart de surface de son visage, ses oreilles pointues s'élançaient vers le ciel. Une vraie tête de rat. En dessous de cela, était marqué Kozy Ier, empereur français. Ma première réaction fut de rire, on me colla un flingue sous la gorge, je décidai de me taire... Pour le moment en tout cas. 
Cependant, quelques semaines plus tard, des échos de critiques résonnaient dans les villes, des penseurs critiquaient cet infâme nabot. Les polices faisaient jour apres jour des razzias pour récupérer "ces marginaux incapables" tel que le prononçait en begueillant Kozy... Le grandiose et magnifique flatteur ne dépasse en fait pas le mètre 20, et est loin d'être beau... Pauvres de nous.
Bref, nous étions pris pour des vrais cons, pour ce que nous sommes réellement depuis quelques années finalement. La censure n'est plus la seule façon de nous faire taire... Enfin de faire taire une minorité quoi... Torture et rafle font désormais partie du jargon.
Cependant, les gens continuent de rester les bras croisés, ils n'en ont pas grand chose à faire... Le poisson rouge dans son bocal ne fait que tourner, ils font de même finalement, ils ne réfléchissaient pas avant, ils ne s'y mettront pas maintenant après tout... 
Le totalitarisme finalement, c'est en partie une connerie du peuple, on est cons, et on se fait avoir, bien fait. On reste là à se regarder et à se mâcher les bouts des pieds pendant que dans la rue, la police fasciste exécute des penseurs... 
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Je m'arrête ici, espérant que cela vous fera peut-être un peu réfléchir quant à notre naïveté, à notre crédulité et à notre manque total de réflexion. Je termine comme d'habitude sur une petite phrase...
Merci de votre lecture, à très bientôt je le souhaite. Si d'ici là, on ne m'a pas pendu.

"Lorsque le mur de Berlin est tombé, certains ont voulu croire que l'heure de la fin de l'Histoire avait sonné. Constatant la chute du totalitarisme et l'effondrement du modèle communiste, ils en ont aussitôt conclu que l'humanité entrait dans un nouvel âge d'or où la paix, la démocratie et la prospérité allaient triompher de manière durable et même irréversible. Cette illusion s'est vite dissipée face aux réalités du monde."
                                                                                Jacques Chirac.