Bonjour
à toi ou vous, qui passerez par-là, par ci.
Bref,
ici quoi. Ici où d'ailleurs il se passe des choses étranges.
(Pas
de calembours inutile cette fois-ci)
Et
oui, et oui, si je m'en tiens au temps et si cela sort vite, j'aurais
eu vite plein d'idées et j'aurais surtout vite écrit tout ça. Tout
ça pour en amener le fait que même du purin, peuvent naître des idées
!
Bonsoir
!
Bon,
quand j'ai tartiné mes crachats de petits gâteaux la dernière
fois, en écrivant, j'ai buté sur une de mes propres idées (comme
quoi la schizophrénie même à faible échelle crée des ravages
chez le poisson rouge) et Hely a encore plus relevé
le truc (salut à toi, qui qu'tu sois, d'ailleurs). J'vous sépare ce
qui dans ma tête s'est entrechoqué, kek.
--------
"
Si s'unir mal, cela revient à engendrer l'incohérence et
l'instabilité sociale; alors, si nous nous "unissons mal"
dans une société de défauts, méprise et injustice, tout en
restant qui nous sommes (la couille dans l'potage), ne sommes-nous
pas donc à la fois maîtres et instruments de toute cette merde ? "
ET
"
Ceux qui créent ça, sont conscients de ce qu'ils font, ils jouent
et jouissent de leur statut pour tous les jours nous jouer de mauvais
tours, tout en nous amenant à haïr la société et à nous mener à
une implicite guerre civile... 'Après tout, regarder ces moutons se
battre entre eux c'est drôle'"
--------
En
fait, peut-être que nous ne subissons rien, peut-être que nous
entretenons tout ce schmilblick, et les symptômes sont nombreux et
aisément identifiables :
Nous
fuyons, et pas seulement les groupuscules de la société ou la
société en elle-même, ce sont les autres que nous fuyons. Ce
faisant, quoi de mieux que de prendre un petit bol d'air quand on
vient de se coltiner une journée de taf ou de cours, ou de je n'sais
quoi ?? Adieu les abrutis, j'retourne dans mon abri, en bon singe.
Cette
joyeuse installation de la haine, dans le partage, et pas seulement
de monnaie ou de matériel, ça fonctionne aussi quand tu cries sur
un buraliste ou quand un punk-à-kouilles jappe sur son chien (ça
expliquerait qu'ils aient des puces, les punk, pas les chiens). Oui,
parlons-en, par haine j'entends pas seulement la rage ou "la
toise", j'pensais aussi et surtout à la perte de la politesse.
Là vous devez vous marrer, à vous dire que je glisse une voire deux
crasses par phrase, mais ne nous méprenons pas, vulgarité et
politesse se distinguent totalement. Peu de personnes vulgaires sont
polies (c'est un fait, si-si'lteplé), mais moult personnes
témoignant de la politesse quotidiennement sont vulgaires. Bref
j'm'égare là. Et ça vaut AUSSI pour les personnes éduquées, j'en
connais BEAUCOUP TROP QUI SE TORCHENT AVEC LA POLITESSE. C'était
vulgaire, je m'en excuse. #CQFD#MEMEPASVRAI
J'disais
donc, la politesse se perd, et si quelques froufous verbaux vous
gênent, je comprends que certains aient l'impression de se frotter
le museau à des barbelés quand ils reniflent la lingerie en
dentelle de leur copine, avoir le nez dans l'évidence ça fait
toujours plaisir normalement. J'divague beaucoup trop. Bref, comme
notre imagination à tous, cela fait longtemps que la politesse
s'éteint, et c'est fort triste, même le salut devient rare,
l'automatisme se perd, la boucle est bouclée.
Les
crises sociales ridicules, et si j'en "excite" déjà
beaucoup, bah soyez prêts, parce que ça va saigner.
Vous
vous souvenez de M. Luther King, et de sa lutte ? Rétablir un statut
équitable social entre les noirs et les blancs, que cela soit
culturel, tenant de la liberté d'expression, du droit salarial. Cela
sans vouloir inverser la balance. C'était une lutte, un vrai
combat qui se devait d'être omniprésent médiatiquement et dans la
tête des gens. Cependant, en 2017 notre combat c'est de savoir si
les homos ont le droit d'adopter et de se marier ou si la place des
femmes est respectée tous les jours dans la société. Alors,
tranchons vif et vite. Le combat homosexuel n'aurait même pas à se
discuter dans une société "NORMALE" (et bon dieu que ça
m'plaît d'utiliser ce mot) parce qu'il s'agit d'un droit logique de
l'être humain, qui serait de pouvoir fournir à tout enfant un
accueil digne et respectueux (donc loin des orphelinats, centres
d'accueil, et j'en passe d'autres trous de la perdition de la
dignité). Et pour ce qui est du combat des femmes, merde, pour ce
qui a été fait au 20è siècle et ce que l'on fait actuellement,
personne ne s'est dit qu'il fallait arrêter le massacre ? Retirer
une distinction de civilité, c'est ça faire progresser le combat
des femmes ? Bah bordel, j'vous plains les filles, parce qu'entre
Simone Veil et les chiennes de garde, le fossé est notable; cela dit
continuons de nous battre tous les jours entre chiens chats, hommes
et femmes, et chiens et loups, et celui ou ceux à qui profitent
cette petite bagarre seront encore plus contents. Diviser pour mieux
régner. Tout ça, tandis qu'on pourrait d'un commun accord se battre
tous contre les bons et après reformater le système, mais non, on
va se battre pour son propre steak et rien à faire du reste. Bien
les luttes. Bien la "distinction".
Les
attitudes putrides de Mr Jmarchesurtéjonkillesetjtepissonez et Mde
Tweetezmoiken7sauciétéaxepterakegesois1cancer, que nous tolérons
tous les jours, sans dire à ces gros tas d'fientes qu'ils sont des
nuisibles, et pas de façon subjective, de façon objective. Nous
avons tous un connard qui nous est propre, mais la saloperie c'est
universelle, combattons-la, et si possible avec plus de vigueur que
le cancer, parce que si on le chope le cancer, c'est à cause de ces
gens-là, alors cessons la lutte médicale et mouchons les enfoirés
(hahaha) ! Bien trop de comportements ne nous choquent pas, ou plus;
et c'est un défaut de la société, on nous berce trop vite trop
près des blaireaux, on nous fait trop vite comprendre que "la
différence c'est bon pour toi face à eux mon lapin, mais pas d'eux
à toi, car eux, sont tous pareils". Nous nous habituons, nous
banalisons toutes ces fois où des abrutis nous ont tenu par le bout
du nez, sans s'agacer, chaque jour, pensez à cette BA, mouchez
quelqu'un qui parle ou qui vous parle mal, parce que si la politesse
se perd, j'en dirais pas moins du respect.
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Et
tous ces grands paragraphes pour en venir à une idée, qui plus est
tirée de cette saleté de Bible (j'ai pas dit saloperie, ah si).
Plus précisément, une vision antique, décomposée et
sous-classifiée de la crasse humaine. La liste des Péchés
capitaux. Bien entendu, la pesée littéraire de l'époque était
très théâtrale et poétique voire dramatique, on rigolait pas
beaucoup dans c'temps.
L'Acédie ou Paresse :
A l'origine s'utilisait pour la paresse spirituelle (ceux qui
n'allaient pas prier; il n'a jamais été interdit par l'Eglise
cependant de ne pas penser, étonnant ?), mais désormais
s'appliquerait davantage aux branleurs (ceux qui font vraiment rien,
ça existe oui oui).
L'Envie :
Ou la jalousie, baver sur les lopins du voisin.
La Gourmandise :
Résumant l'état d'obésité avancé de ta sœur actuellement.
Désolé si ça blesse.
La Colère :
mère de tous ces si bons sentiments et ressentis.
L'Avarice :
Je pense que rien ne saurait mieux résumer l'avarice que le fait de
s'imaginer quelqu'un que l'on connait, qui est trop près de ses
sous, de ses biens, oubliant l'amour, l'rire et sûrement ce qu'est
l'être humain.
La Luxure :
ou la Venise rose à mon goût, mais bon, c'est un péché alors,
c'est pas bien, m'voyez ? Et pour ceux qui ne savent pas encore, la
luxure, c'est le petit plaisir des coquinous, tout mignons les
lapinous.
...Et
le pot aux roses ou pot pourri qui finit en mocheté cette liste
si... euh.
L'Orgueil :
En définition propre ça ressemble à : "Sentiment exagéré de
sa propre valeur, estime excessive de soi-même, qui pousse à se
penser au-dessus des autres." Et pour les curetons, cela
revenait à quelque chose comme le mécréant qui, se croyant
supérieur aux autres, finit par mépriser tout ce qui l'entoure, ne
se sentant redevable de rien à qui que ce soit, cela amenant à la
supposition du mépris du divin (vous savez à cette époque nous
étions tous redevables à un seigneur ou au Seigneur, à cette
époque. Haha). Donc fallait pas déconner, pas se prendre pour Dieu,
sinon on te redescendait de ton grand cheval, et on te montait sur
l’échafaud direction bûcher ou potence. Big up Marine d'Arc ?
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Bon,
mon analyse est peut-être rapide mais.. Dans ma liste, je trouve que
les six premiers péchés, on pourrait juste les nommer défauts ou
vices éventuellement en dramatisant, mais on s'en fout alors je
raye, parce qu'en soi, ils ne font que "définir et
préciser" des attitudes non modérées pouvant avoir des
tournures et démonstrations "vicieuses" je
l'ai dit fichtre (j'suis sûr que vous comprenez, au
fond de vous).
C'est
drôle aussi de faire des associations (sans trop divaguer) et de
constater un truc rigolo (j'en avais d'autres en tête, celles-ci
seront peut-être les plus claires) : l'avare se rapproche du
gourmand dans la volonté d'en vouloir toujours plus; la luxure
trouve comme la colère son sens dans l'expression -ou
extériorisation- de cette dernière; l'envieux et la paresseuse sont
en totale contradiction, la paresseuse ne convoite rien, ni n'a but,
tandis que l'envieux n'avance qu'en désirant ce qu'il ne possède
pas et se voit donc attribuer un cheminement infini (et un bel
acharnement, encore une fois bien opposé au lâcher-prise de la
paresseuse).
Mais
l'orgueil est moche. Force m'est de constater que c'est un poison qui
ronge n'importe qui. Ce n'est pas juste un défaut. C'est un
état d'esprit, et je chie malgré, tout, sur tous ces chiens qui
chipotent pour du chichi, pas farouches, quitte à ce qu'ils
ronchissent dans leur chiasse et que de cette charrette, jamais on ne
les chasse, cette diligence de la gente cérébrale létale, qui
chemine non-chalamment, dans cette choucroute, garnie de chou-venirs
gâchés et de lard-cèlement moral. Joyeuse potée, joliement
présentée, par de jaloux empotés.
De
retour, la divagation.
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Revenons-en
à nos cakes. Dans cette équation pâtissière, force est d'admettre
qu'il est impossible, que le "créateur" soit aussi le
consommé... Dans notre farce à nous, le "pâtissier"
arrive à donner envie, à tous les hargneux avares de s'empifrer de
ces délicieux gâteaux; la paresseuse gourmandise dormant en chacun
de nous, elle nous pousserait dans cette mielleuse luxure, ce vice et
cette envie de littéralement "baiser les autres". Le bel
orgueil se présente, et sa facilité en a séduit plus d'un.
Pourquoi résoudre avec soi-même ce que l'on pourrait
reprocher à n'importe qui d'autre, pourquoi tolérer ce que l'on
peut critiquer, et pourquoi expier ce que l'on peut imposer aux
autres. Orgueilleuses et orgueilleux, si le monde et les gens
deviennent moches, c'est bel et bien de votre faute. Si seulement,
l'intérêt et la passion pouvaient naître de vos grandes gueules,
cela ferait longtemps que nos sociétés en seraient terres de
culture. Mais non, vous ne pensez qu'à vous, et plutôt que de
renvoyer la balle à vos maîtres et à vos dieux, comme un mauvais
enfant battu, vous martyrisez à votre tour vos enfants. Plutôt que
de rompre cette spirale du vice et de l'abus, vous devenez des
matons, et légitimez des comportements inhumains (et pas Charlie).
Vous qui entretenez la zizanie comme s'il s'agissait de votre grand
mère autiste, un jour vous y perdrez, tout (donc le peu de) ce que
vous possédiez réellement, et ce jour là plus personne ne
t'écoutera, toi, et tout le monde te chiera d'sus. Ceci était un
message de la LCCA, la Ligue Contre les Cons et les Abrutis.
Bienvenue
sur cette terre, où les idiots croient se reproduire par la voie
anale, tous fiers de leur réussite, voulant toi aussi t'y faire
goûter. Alors même si sexuellement tu aimes cela, n'oublie
pas que la vie et le sexe c'est différent, tout jeu comprend des
règles mais aucune règle ne verrait l'être humain comme un jeu,
alors garde tes morpions pour toi, et ne prend pas l'autre pour ton
pion. Ainsi, le consommé ne chasserait pas le consommateur parce
qu'il se fait dévorer mais parce qu'il voudrait dévorer à son
tour.
Et si
certains se croient être invisibles, et discrets, ne perdez pas de
l'esprit que nous sommes tous le con d'un autre. Et que quelqu'un
finira toujours par vous percer à jour. Vous, les pâtissiers,
déguisés en petits biscuits, laissant sur votre passage des miettes
de mauvaise foi et cette répugnante odeur d'estime mal placée.
N'oubliez
pas qu'un jour, on vous accusera d'avoir croqué du mauvais pain.
Je
vous laisse avec ces deux petites tartelettes savoureuses à mâcher.
La
première d'Alfred Auguste Pilavoine "Plus l'orgueil s'élève,
plus il crée de vide au-dessous de lui ; c'est un abîme qu'il se
creuse, et une chute qu'il se prépare."
"Ce
qu'il faut surtout éviter quand on fait le bien, c'est l'orgueil qui
gâte tout ce qu'il donne. Le bienfait orgueillesement accordé
devient odieux; il n'est agréable qu'autant qu'il est accompagné de
douceur, de bonté, de simplicité, venu à propos et sans témoins :
autrement on ne se plaît pas à faire le bien, mais à paraître le
faire." Ambroise Rendu 1834
Faîtes le bien, sans en attendre rien, sans en faire son chemin. Et si les cons vous gênent, ne rien leur dire revient aussi à ne rien faire, et par la même à leur laisser la voie libre pour vous casser du sucre sur le dos.
Et
après un tel engouement littéraire, c'est comme si je vous disais :
"A l'année prochaine, j'suis vidé."
À
vite tête de mite, à bientôt dans le métro.
Ca va être compliqué de réagir à tout ce vrai, ce pas faux, et quelques erreurs peut être voulues.
RépondreSupprimerJe ne peux m’empêcher de revenir sur ta définition des pêchés. J'ai le mien à moi, rien qu'à moi, bien ancré au fond de l'âme vois-tu, et la différence qu'il a avec le défaut, c'est qu'il est viscéral. Le défaut, c'est la petite imperfection qui peut être agaçante, ou donner du charme. Le pêcher, c'est le noyau de notre société. C'est ce qui pousse nos rats à manger des chats puis à courser les chiens. Le pêché c'est en moi, c'est en toi, c'est notre fondation. Et tu ne pourras pas le balayer d'un revers de manche.
Par ailleurs les femmes. Sujet épineux. Je laisserai les homosexuels de côté parce qu'on ne parle que d'eux. C'est "tendance". Ça ne me pose aucun problème, mais la moitié de la population sont des femmes et je crois qu'elles souffrent tout autant. Non parce que elles, ont leur a menti. On les élève en leur faisant croire que l'histoire a changé, il s'est passé plein de choses, ça va mieux maintenant, on a l'droit de vote pour tous. Par contre on t'regarde comme un morceau de viande quand tu sors, on te siffle dans la rue et t'es censée dire merci, on te juge tout l'temps, sur tout, ta capacité à être indépendante tout en étant bonne cuisinière, bonne femme au ménage, bonne nounou pour tes gosses (dont tu t'occupes seule dans les trois quart des cas). Mais n'oublies pas d'être forte et indépendante. C'est l'évolution. On te fait croire que ça va mieux, mais on te maîtrise autrement.
Sur ce, ils continueront de se battre, tous. Je crois encore que la solution, ce sont des réserves de chocolat, et double tour dans la serrure.
Fautes d'orthographe répugnantes, je ne vois pas l'intégralité de mon message avant de l'envoyer. Le pêché*
SupprimerHehe. Oui, oui, ton retour. Bonsoir à toi Hely. Tu as tout à fait raison. Un péché c'est inné ça ne se récupère pas comme une bonne gauffre. Comme les penchants artistiques pour certains, la turpitude pour d'autres, et j'en passe caractères et caractéristiques variables de la jolie roue du destin.. On parle de quoi ? Ou plutôt pourrions parler de quoi, dans ce cas.. ? Tout acte est excusable s'il est viscéral ?
RépondreSupprimerJe pense qu'un péché est une vocation et fondation comme tu disais, mais que comme toute base d'un ediffice, il ne peut en rien forcément influencer le reste de la construction d'un être humain, femme ou homme, tartine ou pâté; nous ne sommes pas destinés à "être" quelque chose. Nous créons nos voies, choisissons quand on peut choisir, parfois à tort, parfois pas. Dans tout ça, nous avons nos lubies, nos démons et nos péchés.
Des attitudes qui m'apparaissaient à l'instar de défauts, puisque nous les maîtrisons 9/10e du temps, mais qui au final, se voient dans nos mouvements et nos habitudes par le biais de réflexes et petites "expressions" qui échappent. Je me logeais vraiment dans le symbolique du péché je te l'accorde. Après, tu l'as bien dit, c'est viscéral, mais le fond de chacun n'est il pas animé par un petit quelque chose, qui influence assez souvent les choix ?
Tu n'as pas dans ton entourage des gens que tu pourrais caricaturalement identifier ou relier à un péché ? Je ne te demande pas de soulever le "pêcheur qui dans la vallée de la tristesse et de la solitude prêche les insanités,etc" qui dort en chacun. Mais je suis certain que tu pourras observer cela.
Je t'avoue que pour la question de la femme. J'ai déjà donné le fond de ma pensée vis à vis des genres en général, dans un vieil article.. que tu as peut être déjà lu.
Cependant je comptais sûrement en reparler. Mais c'est épineux et si à la fois ça l'est c'est que c'est tabou, et moi le tabou je le trouve laid. On se passera de commentaire. Haha. Donc bientôt j'essaierai de rassembler le meilleur et le pire et j'en ferai un amas de maux. Voilà. Ca fera pas d'mal de chevaucher ce problème, et quand je parle de problème c'est, au sens mathématique. Et je t'avoue que tu dis pas mal déjà sur ce que la société veut de la femme. Mais comme il est tard et que j'ai la tête dans les nuages, je peux pas bien répondre là tout de suite. Cela dit, ça viendra.
Du chocolat, de la bière et que d'autres matières illicites ! Merci encore pour ton retour l'ami (e) !