lundi 25 mai 2015

Magouillera bien, qui magouillera le dernier.





Radins fauchés et faucheurs de radis, 
Donateurs excessifs et graisseurs de paume, 

Bien le bonjour à vous, 
Habitants de la crise mondiale, "shalom" comme dirait l'autre. 



Depuis plusieurs années, la désinformation règne quant à l'utilisation du terme de "Crise Economique Mondiale". En effet, proposée ainsi, l'association de "Crise" d'"Economique" et de "Mondiale" sonnent pour beaucoup comme une "excuse valable" pour justifier des abus économiques, des inflations, des dévaluations, des augmentation par-ci par-là. 
Bref, sachez-le, les quelques "piécettes" que nous possédons (économies, thésaurisation -celle sous le matelas ou dans le cochon en porcelaine-, placements quelconques) ne représentent RIEN à l'échelle mondiale. "Leur" crise est économique, mais leur est bien propre, tandis que la notre est une crise tenant bien plus du politique. 

Oui, nos problèmes* ne peuvent même pas atteindre leurs oreilles , alors que leurs croisades de spéculation (dont nous sommes totalement étrangers) devraient rythmer et dicter notre façon d'être.. Une justice là-dedans ? Certainement pas, le plus fort gagne, et tous les plus faibles doivent se terrer. 

Le peuple pourrait crever de faim, du moment que les plus hauts salaires sont versés correctement, qu'aucun chiffre après la virgule n'est oublié, alors, le monde va bien. Or, cette "Crise Economique" est donc purement subjective aux quelques faibles pourcentages d'individus qui pourraient perdre une part de leurs fortunes... Plaignons-les, eux qui sont dans le besoin. 

Cependant, si ce point de vue était si évident (ce qu'il est en réalité) les têtes de plusieurs serpents seraient surement déjà en haut de pics, des "solutions" pour se dé-diaboliser sont donc mises en place...

Par exemple, on apprenait la nuit du 21 mai (Cf. http://www.senat.fr/) qu'un amendement venait d'être instauré concernant l'obligation aux grands distributeurs de biens (dans notre cas alimentaires, bien qu'on le sait tous, les vêtements sont à coté de la charcuterie, et les bonbons à coté des préservatifs -oubliez-ça-) de devoir donner les biens non-vendus à des associations caritatives. Comment ne pas voir cela comme un geste de "bonté", de redistribution généreuse et d'aide sociale... ? C'est ce à quoi la plupart se sont arrêtés : "Finalement, ce sont des gens biens, ils nous battent 360 jours dans l'année mais nous font un petit cadeau de temps à autre, pour nous rappeler qu'ils nous aiment quand même." 

Et bien soit, grand bien fasse à tous ceux qui croient naïvement à une quelconque générosité. 

Cependant, il ne faut pas confondre générosité et arrangement. Si cette mesure a été appliquée, ce n'est absolument pas dans une attention de générosité, mais bel et bien dans le biais d'un intérêt énergétique (Cf. http://www.senat.fr/)... Rappelons-le, Areva, "géant" énergétique français (surtout le seul), international et même mondial (et oui ça poussent vite les champignons atomiques), est majoritairement possédé (en terme de parts aux actionnaires) à 54,37% par Le CEA (Commissariat à l'Energie atomique et aux énergies Alternatives -lui-même rattaché au Ministère de l'Ecologie, de l'Enseignement Supérieur et de la Défense-) et à 28,83% par l'Etat Français. Ce qui donne globalement une possession à 83,2% par l'entité de l'Etat Français (qui se retrouve donc -étonnamment- politiquement très impliqué en ce qui concerne Areva) et cela représente un pari très risqué s'il s'avérait que l'entreprise "fondait" d'une manière ou d'une autre (Accident nucléaire -oups-, remplacement par des énergies moins nocives) car dans ce cas-là, pertes et fracas se feraient ressentir. 
Et on commence sûrement à frémir dans les bureaux de ces quelques esprits malades quand on constate que partout dans le monde le marché de l'énergie virevolte en fonction de multiples facteurs (coûts, catastrophes naturelles, épuisement de certaines ressources,...)

Alors autant sauver les meubles et réduire le gaspillage des denrées alimentaires -pourquoi pas, après tout- cela représente 6T/an en France, qui jusque là, en cas d'invendu, étaient tout bonnement mises à la poubelle par les centres de distribution -supermarchés, etc- et inondées de divers produits toxiques afin que personne ne puissent se servir dans les poubelles, vous comprenez, nourrir gratuitement les gens dans le besoin n'est absolument pas rentable, encore plus si ces gens en sont à devoir se nourrir dans les poubelles... 

Pourquoi est-ce que j'aborde ce point, me direz-vous, comme ça, sans transition aucune, imbu de moi-même, en mode "j'vous chie dessus malotrus" (je divague pardon)... ?
  Réfléchissons tous ensemble sur cette transition alors, plus de déchets veut dire plus de moyens mis à disposition pour tout ce qui est du circuit de traitement... Donc, les transports (les bruits qui vous réveillent tous les matins à 5h), le système de retraitement de déchets (TRES TRES gourmand en énergie -oui incinérer des déchets ça consomme beaucoup d'éléctricité-) et parfois le recyclage en fin de parcours... Vous imaginez bien que la facture énergétique (entre électricité et carburant) revient à très cher, mais peut être réduite tout en en générant des profits indirects. Et que donc Areva, créateur d'électricité est totalement lié à ça (et oui, l'électricité aussi ça s'économise).
Elle est pas belle la vie ? 
Mais comment se fait-ce ? 

Tout d'abord parce qu'en redistribuant des ressources, ils évitent de jeter la "totalité" des invendus, réduisant donc les déchets et donc le coût énoncé ci-dessus (circuit de traitement des déchets) puis, parce qu'il est presque sûr que lorsqu'une grande marque de distribution "donnera" (parce qu'entre donner et laisser les gens récupérer, il y a une très grande différence) ses excipients, l'association recevant ces-derniers, affichera sûrement un "Donné par (Au champs, Le clair, Super maché)" Faisant office de la plus belle pub du monde "Nous œuvrons pour votre bien-être, nous aidons mêmes les pauvres, venez consommer chez nous." Félicitations. Vous êtes des enculés. 




-------------------------------

J'entends déjà les "il se plaint trop" ou "comment peut-il voir les choses de façon si négative". A cela, je répondrai juste que j'ai déjà suffisamment du mal à donner de l'argent à la SNCF qui se vend avec un joli "Prenez une longueur d'avance", mais qui se ressent plutôt comme un "Une fois de plus on te met en retard à ton travail, connard" et cela n'est qu'une toute petite constatation, face à la carotte que nous mettent tous les jours les médias publics français quant à la désinformation totale (et voulue). Vous vous un exemple en lien direct avec les paragraphes précédents concernant le gaspillage ?

 Et  bien cherchez dans tous les journaux un article qui parlerait de la loi du 21 mai 2015, tous oublient de signifier qu'il s'agit avant tout d'une proposition de loi liée au domaine de l'ENERGETIQUE et pas du SOCIAL. Marrant non ? C'est d'ailleurs pour cela que je vous ai glissé un lien du site du sénat français, où un PV de chaque "réunion" est dressé et est consultable à tout moment. Tout y est clairement écrit. Mais personne ne le lit. Comme quoi, en terme de transparence, il ne s'agit pas d'un mensonge, mais d'une omission. Ils se disculpent en jouant sur l'ignorance du peuple, ou alors sur des attitudes que l'on nous a "transmises" très jeunes, comme de lire les journaux, de regarder les JT, mais là encore, c'est du foutage de tronche, car la vérité y est tellement déformée, que je pense qu'un téléphone arabe entre sourds-muets déformerait moins un propos que cette association de beaux-parleurs et de poètes déchus.. Je parle bien de la TRES grande majorité de journalistes, qui préfèrent tâcher la vérité de leurs papiers écrits avec leurs pieds, et mentant (quitte à faire plus de tirage). C'est beau la dés-information de masse, non ? Et en plus ça rapporte. Génial !


Cessez de croire tout ce que l'on vous a décrit comme étant des sources "sûres" de renseignements et d'informations. L'information n'est valable que lorsqu'elle est puisée à sa source. Encore faut-il avoir le courage de VRAIMENT vouloir trouver des réponses concrètes à ses propres questions. 

Bref. Je vous ai assez ennuyé pour aujourd'hui, avec ce texte un peu plus sérieux que les derniers. N'oubliez pas de bouquiner (c'est vraiment chouette) et de ne réfléchir que par vous-même. Si chaque humain possède SON cerveau, ce n'est pas pour que le cerveau d'une personne en contrôle plusieurs.

Et je finirais cela par une petite citation légère. 

"Scandales, pots de vin, accidents, meurtres, hooliganisme, magouille, dénonciations, dopage, coups bas, tricherie, caisses noires, inculpations, violence...
L'important est de participer."
Philippe Geluck Le Tour du chat en 365 jours. 


Oh, et si ce texte vous a plu, n'hésitez pas à le partager (comme les mst) ! 
Cordialement vautré. 




*Plus haut je parlais de "problèmes" alors n'y voyez pas les simples problèmes type voisinage ou je-ne-sais-pas-trop-quoi, j'entendais plus problèmes au-sens politiques (pour le Peuple), économiques (aussi pour le Peuple) mais engendrés par des sources dont nous ne savons RIEN, vive la transparence me direz-vous, c'est beau la démocratie. 

mardi 12 mai 2015

Vice nerveux.

Bonsoir à toi qui te perd ici même.

Je me demande bien comment concevoir perdre son temps en lisant les inepties d'un singe, pas plus instruit qu'un poisson rouge. 
Vous savez pourquoi ? 
Car c'est la première fois que je connais un singe possédant des lecteurs. 
Et oui, c'est moi. 
Cordialement. 


Bon, oui en effet, si je me contentais de nos actualités comme sources premières de la pérennité de mon état de santé, je pense que le cancer se serait déjà abattu sur moi de diverses façons, toutes aussi désagréables qu'emplies d'humour. Je ne sais pas moi, cancer du colon, des corps caverneux, bipolarité a tendance schizophrène, bref le grand luxe de la saloperie, propagandé à haute voix par Papa Adolf et Bébé Marine. 
Et oui, comme quoi les constructeurs de vieilles machines se sont décidément bien payés notre poire depuis tout ce temps avec leur "On a plus les pièces pour ce modèle là' l'est trop vieux, l'est foutu". Merci ducon pour la conclusion. 
Avec la raideur et l'aigreur du Père Pen, avec l'incohérence de ses discours (nous sommes en 2015 bordel, nous savons depuis longtemps que les noirs ne sont pas plus singes que les blancs et que le nazisme il faut arrêter avec ça les enfants, ça fait un peu bas been), ne me dites pas que personne ne l'a pas un jour rafistolé avec quelques doses de connerie, un peu de coke et un nouveau foie par hasard ?
 Je pense que comme tout individu trop faible ou handicapé, son groupe social ne peut que le laisser dépérir dans un fossé, en espérant (au mieux) qu'il ne souffre pas trop, ou alors de davantage espérer pouvoir le voir crever la gueule grande ouverte.
Cependant quelqu'un a dû l'aider. Et à celui-ci je dis.. 
Je te chie dessus, malotru.

D'ailleurs, si à ce jour j'étais dignitaire de l'Ordre des Médecins, je pense que si un patient comme lui (ou lui) s'était présenté à moi, je lui aurais dit qu'il souffrait d'une maladie terrible, qu'il fallait soigner à coup de pelle. Et j'aurais surement pris un malin plaisir à lui "administrer" moi-même ce traitement, poésie, toujours poésie.

Mais bref passons, la société ne m'intéresse pas. Il y a trop d'ahuris abrutis à supporter au quotidien pour se permettre d'accrocher un tant soit peu à ce "cadre global" qu'est la société avec son lot de beaufs et d'idiots du village.

"Allez on va parler foot !" Plutôt crever.


J'ai la migraine à force de ne plus pouvoir tenir les rênes,
De ma vie, de la vie, des soucis, du mépris.
Mais tant pis, ma tante prie.
Pour le sublime salut, de ces serpents qui sifflent silencieusement mais surement.
Chaque jour se ressemble, chaque joie se remémore,
Mais chaque fois j'ai des remords.
Tandis que face à moi se dressent tous ces retords.
Vilenie vaine et vicieuse, tu envahis ma vie.
Tu passes partout où ça casse.
Impossible de faire volte-face.
Inventive invisibilité, innovant mes inepties.
Vois ce que tu me fais dire.
Mais j'ai encore une fois réservé le pire.


Imagination, immolant mon innocence, illustrant l'innommable,
Fourrant tes facéties au fond de ton four,
Tu cuisines mon crâne comme Casimir câline les mioches,
Moche et malodorante, tu malmènes ma mémoire,
T'en servant savamment pour salir mes songes.



Comment peut-on sortir de ses rêves alors que chaque jour sur Terre est une confrontation à la plus grande illusion jamais vue. Jamais vue par rapport à quoi d'ailleurs ? Chaque jour, je vois du tout et surtout du n'importe quoi. Des connasses sur talons hauts, des abrutis trop visibles, des menteurs, des profiteurs, des guignols, allant de ta mère à mon chien. J'ai pas d'chien ? Merde alors.
Et encore je parlais de rêves, mais un rêve n'est pas forcément rose et blanc, ou noir et rouge (tout dépend de qui rêve, c'était une blague ? Non, bon tant pis aussi), c'est juste un résultat tenant de l'imagination et/ou de la mémoire qui affecte nos sens, mais quoi qu'il en soit, c'est quelque chose non réel. Alors comment l'irréel s'est-il tant incrusté dans ce qui semblait réel ?

A moins que tout cela ne soit qu'un rêve. Et dans ce cas-là. Je tourne en rond, comme Boule derrière sa queue. Et dans ce cas-là, je suis un sacré contorsionniste.
Bref, encore une fois, un creux taché de mots et de lettres, de majuscules et de ponctuation. Si quelqu'un pouvait comprendre à quel point je m'ennuie sur cette Terre malade..

Nonchalamment vôtre. A mi-distance entre réel et irréel.
(Le cul entre deux chaises)