Les
autres, toujours mauvais apôtres,
Laisse
les lécher les lopins et leur lèpre.
Ils
envient ton engin et convoitent ta conjointe.
J'donnerais
pas lourd de leurs dos pâles.
Ils
sont vicieux et verreux, avec leurs sales yeux vitreux,
Et
leurs doigts crochus.
Ils
se délectent cruellement,
Des
joies qu'ils espèrent et du désespoir dont ils jouissent.
Ils
défient les lois à tout va, alors que leurs voix se défilent à
chaque fois.
Jamais
ils ne sont honnêtes, comme des serpents à clochettes.
Je
les vois s'accoupler avec le mensonge, qu'ils ménagent comme une
vache sale.
Tandis
que je guette ses arrières,
Elle
croit à une déclaration muette,
La
jalousie fouette, comme une geole de foin,
Enfermée
dans son odeur de chagrin,
Lorsqu'elle
touche un de tes biens,
C'est
comme un poison qui te ronge les reins.
Les
jaloux attendent, leurs joues se crispent,
Ils
crachent sur ce qu'ils veulent, et te montrent leur haine,
Leur
logique c'est salir ce que tu as, y laisser des taches de gras.
Ils
n'ont pas de foi et ne font pas de choix.
Leur
gangrène est une chaîne, qu'ils traînent,
C'est
en faisant le mal, qu'ils l'étalent,
Comme
de la connerie, sur une tartine de vie.
L'amour
ne les touchera plus, mais les tachera.
Comme
de l'encre noir, sur mon mouchoir du soir.
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