mercredi 24 décembre 2014

Dans les abîmes sociales..

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Ecoute ces larmes, écoute les armes,
Dans un fracas de fric, tu te tapisses tel un tabou, 
Ta peau sera enlevée, et en sac transformée. 
Tu te bats pour ton espoir, qui est enfermé dans l'armoire. 
Tu fuis ce bruyant silence, cette sourde danse. 
Un brouhaha brutal quand on te broute le baba. 
Tu es un esclave slave, tu laves et t'en baves. 
Jamais la terre promise, et pas mal de fois on te l'a mise. 
Les crises se répétant comme sur une frise, les deux doigts dans la prise. 
Tu crois en toi, mais on t'a retiré ta foi, dans le but que tu te noies, 
Et que t'en recraches ton foie. 

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Flagada et pas farouche, tu as la langue qui fourche. 
Maintenant, gaffe si ça s'fâche, achève les à coup de hache. 
Ne crains plus la terreur, tu connais le malheur, 
A quatre heures ou dans le bonheur, tu es aussi utile qu'une fleur. 
Meurs dans la sueur ou d'un cancer du cœur, sans chaleur et froid de pâleur.  
Tu es cette lueur qui meurt, cet esclave sans demeure. 
Dans la rue tu leur fais peur, tu leur inspires la froideur. 
Et ce caniveau sera ton ultime tombeau, après tes marmots et ton boulot.

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"Mélodies des jours sans âme..."

"Perpétuelle pucelle, la femme de la justice, ne voit en nos actes qu'un portrait du vice. Si la jeunesse perpétue le culte du précipice alors le Monde bientôt ne sera plus que vils sévices"

"Petite crasse calomniée, il parait cruellement que vous collez, la poussière grouillante dans une casse, pauvre catin qui se décolore, ta chute sera indolore, tu choiras subitement vers la mort"

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Ne vous engraissez pas trop pendant les fêtes. 




vendredi 28 novembre 2014

De toute manière, nous y passerons tous.

Aujourd'hui, j'ai soif de haine, j'ai envie de briser mes chaînes. 
La résolution de cette vie-équation me colle la migraine.
On m'a toujours dit que j'avais été une mauvaise graine, 
De toute manière, si vous êtes là, ce n'est que pour nourrir ma peine. 

J'aurais voulu croire en l'humanité, avoir cette foi en la médiocrité, 
Accepter mon sort, comme si j'avais été la cocue d'un prestidigitateur. 
"Trick or Trique", la vie n'est qu'un éternel concours pour savoir qui aura la plus grosse baguette. 
Après tout, la connerie humaine restera marquée dans la pierre, savourons cette pérennité, 
Le résultat et l'empilement de plusieurs centaines de générations de crétins géniteurs. 
Tu finiras peut-être en étant une légende, mais ce ne sera pas pour ce que tu avais dans la tête. 

Je suis sûr qu'en nous concentrant suffisamment, nous pourrions planer au-dessus de ce nid,
De vipères, de chimères, de leurs mères et de leurs pères. 
Malheureusement, la stupidité agit comme de la glu extra-forte, te bloquant dans le déni, 
Les yeux ouverts, des neurones en fer, les jambes en l'air.
De la connerie en veux-tu en voilà, la lutte n'a pas commencé mais est déjà finie, 
Laisse-toi faire, ne fais donc pas de manière. 

De toute manière nous y passerons tous.

 Dans cette casserole, réchauffée par le feu de l'ignorance, 
Un feu alimenté par les craintes et les idéaux. 
Craintes et plaintes. 
Idéaux pour idiots.
Idiots. 

Tout n'est qu'un enchaînement, comme s'il s'agissait d'une partie d'échecs, jouée par des aveugles. 
Dont les pions seraient représentés par nous tous, citoyens abrutis d'une société masochiste, 
Contents dans leur crasse, confortablement assis sur leur médiocrité.
Il ne s'agit même plus de duper, l'idiot avale sans même savoir ce qu'on lui met à la bouche. 

Il s'agit désormais d'essayer de glisser la plus grosse carotte de l'univers au peuple.
Qui aura le dernier mot ? 
Les politiciens, qui pelotent autant qu'un policier pédant avec option pédophile ? 
Les journalistes, joyeux guignols qui se jouent de ta guigne ? 
Les financiers, qui falsifieraient une facture de flotte pour te l'enfiler au fond du fion ?

Loto, à qui le tour ? 

Je comprends totalement pourquoi après ce concours de l'enfilade, nous relaxons les pédo-prêtres, 
Les pauvres essayent par tous les moyens de nous convertir à leur religion. 
"La voie anale n'est pas impénétrable, loin de là mon enfant"
Tout ne serait que béatitude, prière et consentante sodomie. 
Au moins eux ne cachent rien, il est aisé de deviner que sous leurs bures violettes, 
Ce ne sont pas un chapelet sacré qu'ils gardent, mais bien la solution à l'expiation. 

Un gros ras-le-bol. 
Beaucoup de remous. 
Pour un petit raz-de-marée. 
A contempler ces rats, qui me font marrer. 



mercredi 30 juillet 2014

Misanthropie






 Les autres, toujours mauvais apôtres, 

Laisse les lécher les lopins et leur lèpre.
Ils envient ton engin et convoitent ta conjointe. 

 J'donnerais pas lourd de leurs dos pâles.
Ils sont vicieux et verreux, avec leurs sales yeux vitreux,
Et leurs doigts crochus.

Ils se délectent cruellement,
Des joies qu'ils espèrent et du désespoir dont ils jouissent.
Ils défient les lois à tout va, alors que leurs voix se défilent à chaque fois. 
Jamais ils ne sont honnêtes, comme des serpents à clochettes. 
Je les vois s'accoupler avec le mensonge, qu'ils ménagent comme une vache sale. 

Tandis que je guette ses arrières,
Elle croit à une déclaration muette, 
La jalousie fouette, comme une geole de foin, 
Enfermée dans son odeur de chagrin, 
Lorsqu'elle touche un de tes biens, 
C'est comme un poison qui te ronge les reins. 

Les jaloux attendent, leurs joues se crispent,
Ils crachent sur ce qu'ils veulent, et te montrent leur haine,
Leur logique c'est salir ce que tu as, y laisser des taches de gras. 
Ils n'ont pas de foi et ne font pas de choix.
Leur gangrène est une chaîne, qu'ils traînent, 
C'est en faisant le mal, qu'ils l'étalent, 
Comme de la connerie, sur une tartine de vie.
L'amour ne les touchera plus, mais les tachera. 

Comme de l'encre noir, sur mon mouchoir du soir.



mardi 22 juillet 2014

Notre avenir nous appartient-il vraiment ?

Flemmards et dégonflés,

Bosseurs et dévoreurs,

Bien le bonjour à vous. 



Tout comme je me suis lancé tardivement dans cette écriture, tout comme j'aime repousser à demain ce que je pourrais faire aujourd'hui, la question de l'avenir -en général- m'a toujours semblé être un domaine très très flou. 
Voyez-vous, nous sommes tous exposés à un facteur commun : le Temps. Qu'il court, qu'il traîne, accélère ou même semble s'arrêter, il ne va malheureusement que dans une seule et même direction, celle de l'avenir. 

Cependant bien que cela soit inévitable et totalement irréversible, tous nous cherchons par divers moyens -à un moment ou à un autre- à faire que celui-ci s'arrête ou même recule. Et oui, même Madonna un jour ressemblera à votre grand-mère ou à votre chien Brutus (boursouflé, la gueule ballante, et l'arrière train à moitié paralysé). 
Malgré cela, parfois nous nous aventurons à essayer de prendre ce train infernal en marche et à donc chercher à choisir notre avenir, tel un écrivain qui rédigerait son livre en choisissant quelles péripéties allait vivre le héros qu'il incarne. 


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Si tel est votre cas, alors laissez-moi vous dire que le résultat final ressemblera surement à un livre certes, mais écrit par un schizophrène alcoolique, passant le plus clair de son temps à jouer à la roulette russe pour effectuer ses choix. 
Ce n'est pas de votre faute pour autant -hormis dans le cas où vous seriez Dieu, et dans ce cas là, je vous prierais de bien vouloir partir d'ici, grand bien vous fasse mais je pense que vous avez mieux à faire que de lire ou d'entendre mes mots, cordialement.
Mais je divague. 

En effet, le temps, bien qu'étant linéaire et régulier sur son fonctionnement (seconde après seconde, minute après minute, etc vous m'avez très bien compris) n'est absolument pas sur le plan du "de facto"  régulier. Tous les événements vécus au cours d'une vie humaine ne sont qu'une suite bordélique et anarchique de faits et gestes -dépendants, ou ne dépendants pas de vous- aboutissant à un patchwork immonde, digne de celui de votre regrettée ancêtre, atteinte d'Alzeimer et de Parkinson aux derniers stades. 
Vous ne pouvez pas contrôler votre destin, vous pouvez choisir vos études, votre métier (et encore), votre épouse (qui doit vous choisir elle aussi, non je n'approuve pas ce qu'a fait votre frère avec cette jeune fille de 6 ans) votre maison et votre chien, mais les faits de chacun de ces éléments (que vous aviez -plus ou moins- choisi) vous n'en choisissez aucun. Et c'est ainsi que votre avenir soigneusement tracé, risque de pouvoir vous décevoir. Chaque être humain, chaque chose, en plus de leur propre volonté (oui mon réveil possède une volonté, parfois il ne VEUT pas me réveiller car il ne VEUT pas sonner, or il s'agit d'un objet, donc les objets possèdent une volonté CQFD) sont soumis à ce contre-la-montre oppressant et je vous laisse juger par vous-même que parfois le comportement d'un humain ou d'une chose peut changer seconde après seconde ( ce qui fait à l'échelle d'une vie beaucoup de changements envisageables). 

Et malgré le fait que je m'égare encore, je précise que si je parle d'oppression, c'est car, je vous rappelle que vous n'êtes pas éternels mes lapins, et qu'en plus de devoir rendre vos obligations, vous vieillissez (donc de changer de strate de tranche d'âge très fréquemment, qui vous fait modifier vos façons de faire, jusqu'à la mort) et justement se dire qu'après tout ça, et bien la Faucheuse viendra tôt ou tard vous interrompre dans ce que vous faisiez ou que vous ne faisiez plus. 

Mais, être pessimiste ne servira à rien, hormis vous faire perdre du temps, ou alors à fuir ce dernier. Ou bien en dernier recours à chercher la formule magique du rajeunissement et/ou de la résurrection. Ce qui n'est ni bon de manière éthique, ni réalisable pour le moment. 


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Bien que cet avenir soit inévitable, cruel, parfois agréable et plein de bonnes surprises, nombreux sont ceux qui par des subterfuges ou des artifices tentent de fuir les effets et les outrages du temps. Peut-être eux sont-ils maîtres de leur avenir ? 
Quand je pense à ça, je fais référence aux stars ou à toute personne ayant eu recours à la chirurgie esthétique, voulant retarder les rides et le vieillissement (qui n'est rien d'autre qu'un effet de l'avenir après tout) en s'injectant de la graisse sous la peau... Vous imaginez sérieusement l'idée sous-jacente ? "Bonjour, contre un peu de graisse rajoutée sous vos pommettes, vous ferez plus jeune !" Maïté (du rondelé) a un sacré tour d'avance sur vous alors mesdames, même son ventre va faire plus jeune !... Ou peut-être pas en fait. 
Il en va de même pour toutes ces personnes qui se réfugient dans les jeux, la drogue, l'alcool, la clope, le mensonge, la consommation de masse, les réunions tupperware, le déni. A leur façon ils contournent ou retardent l'inévitable (ou en tout cas ils essayent...). Ils font en sorte non pas de repousser les actes d'une journée à celle du lendemain, mais à carrément repousser la journée présente au lendemain, et cela de façon infinie. Tout comme l'on va fuir pendant, dix, vingt ou même trente ans un miroir, pour un beau matin constater que nos cheveux sont gris, notre visage ridé, notre corps en plein déperdition...

Était-ce vraiment un refuge ou alors, une illusion qui sera finalement bien plus meurtrière que de suivre une évolution lente (mais sûre) de vous-même ? 



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En définitive, je pense que le temps est peut-être cruel, totalement incontrôlable. Mais qu'il faut relativiser sans pour autant subir le temps. 
"Chaque chose en son temps" résume bien cela. Ma question de base était fondée autour du mot "avenir" qui en soi est au final une totale illusion (puisque l'avenir dépend en réalité de millions de facteurs au cours d'une vie), et que vouloir contrôler une illusion n'est qu'une idée digne d'un malade mental (j'aimerais vous voir essayer de contrôler le vent vous, non vous n'êtes pas Link et sa baguette magique), et si vous n'êtes pas malade mental, alors vous n'êtes peut-être pas réellement des gens qui veulent contrôler leur avenir, mais peut-être inconscient du million de critère qui vous en empêche (Dieu, si tu es encore là, alors je sais désormais que tu ne sais pas lire, un point pour moi). 

Alors oui, chaque chose en son temps, rien ne vous interdit de prévoir des possibilités "d'à-venir" mais qu'il est réfutable de prévoir l'avenir.
Votre corps changera, mais votre âme malgré le temps restera la même. Et pour moi, le seul Maître de son Avenir, c'est celui qui réussit à vieillir physiquement sans ne jamais voir son âme flétrir comme l’affreux fessier de votre grande tante. 

Sur ce, prenez votre temps, car griller les étapes ne fait que provoquer un triste résultat, que m'a souvent illustré mon paternel par un proverbe. 
"Le temps finit TOUJOURS par reprendre ce qui a été fait sans lui." 

dimanche 6 juillet 2014

Lucidité dans l'acidité.



Estropiés, éclopés et escrocs pillés, bonne journée !

Alcooliques, drogués et plastifiés, bonne nuitée ! 

Et à vous autres, gens normaux, bienvenue. 



Cela faisait quelques temps que j'avais grise-mine devant la feuille blanche. Les idées noires m'envahissaient et je commençais à avoir une peur bleue d'être incapable à semer de nouvelles graines d'idée et quelques bourgeons de rire, vous devez comprendre qu'écrire c'est comme avoir la main verte, on cultive les mots, on récolte des textes, et... On finit blanc comme un linge, vert de rage de ne récolter que des déceptions. Mais je divague. Encore, oui. 

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Je ne sais pas si j'arriverais aujourd'hui à atteindre et parler correctement d'un thème bien particulier, mais bon, après tout. Le but est avant tout de rire un peu, ne vous forcez pas, partez si je vous ennuie. 
Retournez regarder le foot, allez voir nos bleus de bleus, au pied du mur, la tête dans le guidon et la poudre. Ah ça, elles sont belles nos danseuses. "Des putes et d'la coke", ils ne sont pas allés au Brésil pour gagner une coupe de monde mais pour faire le plein d'émotions avant tout, encourageant le fait qu'il y ait des massacres organisés avant et pendant un événement sportif, repoussant les vendeurs de tacos mais attroupant les "masseuses" et autres "danseuses" aux petits soins de nos chers sportifs, et ne croyez pas qu'elles s'arrêtent à la danse du ventre, ni au massage du dos. Après, tout est bon à prendre -n'y voyez aucun jeu de mot s'il vous plaît-, mais lorsque que je "lis" ou entends certaines déclarations de nos sportifs, j'arrive enfin à mettre un exemple sur l'idée de "même faire des fautes d'orthographe à l'oral". 
Après certes ce sont des sportifs, pas des poètes ni des écrivains, mais dans ce cas là, trouvez leur des porte-paroles ou des messagers, un peu comme pour le président de la République, non ? 

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Par ailleurs, en rebondissant sur nos danseuses sur gazon, je reviens à parler de cette expression symbolique si... Réaliste. "Du pain et des jeux", étant les deux moyens les plus efficaces pour contrôler ou au moins distraire un peuple efficacement. Je trouvais ça incroyable à quel point même en groupe ou micro-société si vous préférez, les gens adoraient détourner les regards d'autrui sur les problèmes importants ou liguer les personnes les unes envers les autres. J'avais un peu évoqué cela dans l'article des extrêmes féminins et masculins, mais même au sein des personnes que je fréquente, je ne cesse de voir ce genre de manipulations qui visent en permanence à s'exclure les uns des autres, alors je comprends que chacun ait une opinion différente de l'autre, mais cela n'est pas pour autant une excuse pour rejeter l'autre, si ? 


Je peux comprendre que vous préfériez dissimuler le fait que celui qui avait déféquer dans l'armoire de Joseph c'était vous, mais de là à accuser le petit frère, c'est un peu vache quand même, non ? 
Que la société nous mente ou nous dissimule les frais en prostitution des ministres, ce n'est pas acceptable, mais nous avons l'habitude d'avoir des faux lots de consolation pour oublier notre rancœur. Que votre patron vous parle de promotion pour vous virer par la suite, nous en avons aussi l'habitude. A croire que nous sommes tous des pêcheurs exceptionnels, nous sommes professionnels dans ce qui est de dénicher les anguilles cachées sous les rochers ou alors qu'elles nous tombent dessus, qui sait. Cependant, l'amitié nous rapproche, nous permet de parler en toute franchise n'est-ce-pas ? 
Cela ne permet pas pour autant de sortir de façon crue des vérités un peu dérangeantes voire presque insultantes, ou alors c'est que vous ne craignez pas de sentir sur vous des regards enragés ou dégoûtés. Après j'appuie la petite expression : "Avoir des amis, c'est trouver des personnes avec la même déficience mentale que toi", qui nous protège de mauvaises réactions, et qui fait que nous sommes aptes à accepter pas mal d'actes "bizarres" que pourraient faire nos meilleurs amis. 
Mais, j'aimerais ne pas trop m'égarer. L'idée de base était les distractions qui servent de "douces manipulations" pour que nous restions dociles, et comme je ne me suis pas littéralement exprimé depuis trop longtemps, et bah je pars loin, trèèèèès loin. Et je terminerais donc ce petit passage en rajoutant que nous n'avons pas besoin d'hypocrisie ou de diversions futiles entre amis, la société se joue déjà bien assez de nous pour ne pas avoir à rajouter des personnes proches sur la liste des "enculés à ignorer de préférence". Vous savez, dans le genre de ces personnes qui crachent dans votre dos dès que vous vous retournez, et non je ne parle pas de votre oncle pédophile. 






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Ce méli-mélo n'est pas forcément clair et est surement trouble, mais si vous avez suivi, c'est bien. Si vous n'y arrivez pas totalement, essayez les prod', peut-être y arriverez vous. Non je plaisante, vous deviendrez extra-lucides vous verrez trop de choses, créant encore plus d'interprétations possibles. Vous serez perdus, vous décrocherez totalement cette ancre qui vous attache au sol. Notre auto-satisfaction, comme le pain et les jeux, nous faisant lâcher prise à ce bric-à-brac qui nous braque un flingue pile en face des yeux. Nous le désirons, nous le choisissons, enfin peut-être pas totalement pour certains, mais je pense que c'est comme un cadeau empoisonné ou une sucette triplement plus sucrée, que nous croquons à pleines dents, tout en sachant que cela créera des caries monstrueuses. 
Et je donne à cela un deuxième sens. Nous aimons oublier nos soucis, ce qui nous entoure, nos erreurs, nos déceptions, mais nous détestons être bernés. Aucun être humain n'échappe aux remords, à la culpabilité, à la frustration que peut engendrer son égo. Mais je pense que l'oubli volontaire apporte de la satisfaction tandis que l'oubli ou la dissimulation n'apporte que la colère ou la sensation de non-dit. 
D'où cette lucidité dans l'acidité, nous acceptons de troubler nos esprits mais dès que quelqu'un tente de les troubler sans notre accord ou alors à l'instar d'un excès de confiance engendre la sensation de la trahison. C'est pour cela que les gens se droguent, se médicamentent ou s'alcoolisent, le besoin de s'échapper est d'ordre instinctif. 






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Pour conclure, je dirais que l'être humain a besoin de se distraire, mais seule une petite partie des Hommes arrive à se distraire de façon choisie et volontaire. Est-ce une question de milieu ? Une question de goût ? Une question d'habitude ? Pour ma part je pense qu'il s'agit d'une force d'esprit, nous sommes vite prisonniers de nos prisons dorées certes, mais il s'agit d'intoxication pure et dure lorsqu'il est question d'une distraction qui ne cherche pas à nous développer intellectuellement. Un divertissement n'est pas forcément culturel ou même intellectuel, mais il créera forcément une réaction interactive physique-mentale, c'est pour cela que je crache bien volontiers sur toute cette intoxication venant de la télé-réalité, car en plus d'être débilisante, elle est nocive à tous. Alors à vous qui regardez de la télé-réalité et qui donc ne lirait jamais cet article, je vous le dis. Droguez-vous, cela vaut mieux. Vraiment. 


"Quiconque, par distraction ou incompétence, arrête tant soit peu l'humanité dans sa marche, en est le bienfaiteur."

                                                                         Emil Michel Cioran


lundi 24 mars 2014

Là où l'or noir coule, les taches de sang ineffaçables prennent place.

Bonsoir à vous, qui que vous soyez. 

Je suis perdu, nous sommes perdus. Nous nous voulons unis certes, mais à quoi bon ? Nous fonçons tous dans un mur. Un mur doré, qui finalement, va plus nous tomber dessus que nous, nous lui rentrions dedans. Nous n'avons plus de volonté à rien, nous croyons à la possibilité de faire des choix que nous n'avons plus. Alors que les pires régimes s'installent sous nos yeux, nous ne faisons rien. Nous restons désinvoltes. C'est beau la cécité n'est-ce-pas ? Et encore, si nous serions aveugles, nous aurions une réelle excuse. Ici, nous ne sommes ni malades, ni aveugles, nous sommes juste là, nous pauvres consommateurs, à comptabiliser nos centimes en banque, nous faisons et prêtons attention à l'illusion que nous entretenons tous les jours. 
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Un paquebot japonais s'écrase sur une plage déversant des milliards de litres de pétrole sur le sable immaculé... Et alors ?
Un peuple terré au silence sous la poigne d'un Mao qui miaule de plus en plus fort... Vous ne connaissez pas.
Un pouvoir d'expression et de liberté qui se fait voiler, sous nos yeux, là ! Rien ne vous fait réagir non plus.
On vous met un voile sur le visage, on vous passe les menottes au poignet. Vous vous croyez peut-être encore dans Plus Belle La Vie ? 
Vous croyez que tout va bien dans le monde, vous croyez que vous êtes un acteur de l'avenir mondial. Vous croyez, ça oui.
On vous ouvre les yeux et là, vous voyez devant vous, des gens voilés, certains battus à mort, d'autres agonisant, des enfants qui pleurent. Ce sont vos enfants, vos familles, vos amis. Et là vous réagissez ?

Un paquebot japonais, transporte dans sa calle, un peuple terré sous la poigne d'un pouvoir d'expression et de liberté écrasé, on vous met un voile sur le visage, on vous passe les menottes au poignet, vous croyez que tout va bien. On vous ouvre les yeux. Et là vous comprenez le vrai Enfer inter-planétaire. 
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Nous revenons à nos brebis sacrifiées. Rien ne va plus. Après Kadhafi, un nouveau pouvoir tente de s'introduire en Lybie. Quelque chose de plus "charriant" si je puis me permettre. Les hommes à barbe armés sont de retour, déguisés dans leur costumes de présidents, les ayatollahs auront vite fait de remettre leurs pays a feu et a sac.
Nous "délivrons" un pays d'un des ex-ami des américains. Un ami qui avait un peu trop ouvert le bec, narguant, le doigt d'honneur haut, les Etats-unis. Sans savoir, en voulant charrier le compère Sam, notre petit Kadhafi, venait de s'attirer les foudres étoilées du continent opposant. Nous "libérons" donc le pays, puis nous ne laissons entre les mains d'un gouvernement surement, dix fois plus pire que l'ancien. 
Mais qu'y pouvons-nous au final ? Nous pauvres armées irréfléchies. Pauvre peuple sans le droit de vote. 
Les Etats-Unis n'auront plus rien à en tirer, l'Afghanistan leur prenant trop de temps. L'Europe, auto-mutilatrice, en manque de sang et d'argent, demandera charitablement encore une fois un peu de temps avant de relancer son armement nucléaire endormi. 
La Chine, dragon surpuissant, attendrait terré dans sa caverne, que les armées soient sans munitions, que les banques des royaumes soient vides. Que tout ce beau peuple, vienne défier ou admirer les écailles pourpres de la créature furieuse. Et c'est là, que les ailes gigantesques de la bête viendraient battre l'espace. 

Voilà notre solution, voilà la fin de tous. Même les munitions atomiques ou lasers des Etats-Unis ne perceraient pas la peau de la bête. Nous finirions tous assis, la voix nous manquant, admirant la mâchoire de la bête.

A l'aube de la fin du monde.

Salut à vous, citoyennes et citoyens de ce monde.
Aujourd'hui après la déforestation progressive de la foret pubienneAmazonienne. Les vilains hackeurs ont voulu s'en prendre à mon PAUVRE compte facebook...

 Blondes et roux, mères de famille et pères ivrognes, fumeuses d'hortensia et lécheur de cigarettes russes. Ouvrons le ballet ensemble ce soir je vous prie..

 Des nouvelles bien basses de notre bien bas de monde.. Nous sommes là encore, dans notre vilaine crasse. Après m'être presque réjoui, qu'enfin facebook allait être détruit... Et bien non, j'ai pu vérifier que mes 444 pingouins "d'amis" étaient encore là. J'ai pu encore fois regardé les photos de ce mariage, où la femme éléphant a failli renverser de l'eau sur la robe de la poule sur-maquillée. Non, non, je ne divague pas, notre monde est inintéressant. 

 Si je devais faire un petit tour de ces quelques jours... En version un peu décalée...
 Je dirais qu'il ne faut pas charria ! A force de se faire charria, nous allons finir par remettre sous voile nos petits pots de beurre que nous devions apporter à mère Carla.
 Le christ va réussir à enlever les clous de ses mains pour se cacher les yeux, tellement, nos petits catho-scatos, demandent à Marine de se dé-voiler de plus en plus... Ses discours culottées, nous font lever les yeux, mais si seulement elle ne faisait monter que les yeux et pas aussi ses sondages.
 DSK lui s'est fait une raison. La gauche est morte, alors autant profiter un peu d'elle. Elle ne risquera pas de l'emmener en procès, c'est tellement plus simple d'abuser d'une petite femme tremblante et agonisante nous dira-t-il. 
 Sarko se sent pousser des ailes, le redbull fait effet, il a su planter ses graines et ses arguments là où il fallait... Le chou a poussé et finalement, on nous pond en même temps qu'une candidature une marmotte mi hongroise mi italienne. Une spaghetti Spatzeles (recette de nouille hongroise).

 Et nous, nous nous contentons de regarder tout cela... Les yeux ébahis, comme des gamins de 5 ans a qui l'on vient de tendre une sucette en forme de chat. On croit toucher à la plus belle merveille du monde, constatant qu'elle entraînera des caries redoutables par la suite.. Et oui il est temps d'ouvrir les yeux. 

 Nous ne jouons aucun rôle sur terre.
Le RSA existe pour que les plus pauvres puissent consommer. 
L'opposition existe pour nous faire croire à une différence.
La Télé-réalité et l'Or n'existent que pour nous abrutir, et nous faire croire que tout ira bien. 
Nous ne sommes plus uniques. La mode a tué l'unicité. Nous nous ressemblons tous. Vous, moi, eux. Qui sur ce monde se sent différent ? Tous hypocrites. Nous sommes des oiseaux sans cervelles attirés par le grain d'un grand méchant loup, qui resserrera ses griffes sur nous. Nous dévorant par la suite. 

 Carte bancaire, souffles et sueurs froides, retards au travail. Voilà votre vie. Oubliez votre maison, oubliez votre voiture. Oubliez votre pouvoir, sentez-vous seuls dans des bois froids. Vous ne savez pas survivre. On vous pré-mâche tout. 
 L'Homme a dû depuis sa pseudo-création, survivre, se déplacer, arpenter pieds nus ses terres. Chasser, se battre. Aujourd'hui, faites le tri. Vous sentez vous survivre, ou alors essayez-vous de vous convaincre que c'est encore une histoire de vie ou de mort ?

 Ma survie c'est mon âme, je l'ai brûlé il y a longtemps dans l'alcool avec Amen. Des récits d'alcooliques, de pervers, de geeks, de soldats, de politiciens, de prêtres, qui sommes-nous ? Qu'est ce que cela vous apporte, nous sommes tous soldats pour l'oeuvre de notre vie.
 Il suffit juste de vouloir regarder plus loin que ses habitudes, affronter le soleil du regard, et se dire que de toute manière... Nos existences insipides, ne seront que des dettes à nos petits-enfants.. Que des brassées d'air. Nous pouvons tous marquer notre planète autrement qu'en la détruisant. Qu'en votant chaque jour pour un monde de plus en plus scandaleux.

 Tous les jours, frères et soeurs. Nous vendons nos familles aux politiciens.. Le vouliez-vous ? Non, vous n'étiez pas au courant. Les anti-fatalistes ont sûrement déjà du arrêter de lire. C'est trop tard pour les autres. Mettez-vous a cogiter allez-y. Regardez ce que vous a apporté la vie. En quoi vous sentez vous grands... ? Admettez que vous n'avez pas d'ailes dans le dos..

 Nous ne sommes pas uniques... Nous ne sommes que la merde de ce monde, prête a tout pour servir le caprice d'un tyran.. A vous, lecteurs.. Battez-vous. Chaque souffle peut changer le monde. Il suffit juste de savoir quelle dune déplacer..

La fuite du Grand Méchant Tabou.

Petites innocentes et Petits agneaux... 
Rieuses et Rieurs, Pleureuses et Pleureurs.

Faisons un point dans ce bas monde... Comment évoluons-nous... Comment nous distinguons nous.. Ou du moins par quel moyen y parvenons-nous... Cetains progressent ou regressent grâce à leur situation financière, à leur statut social, à leur niveau de culture, d'éducation scolaire (si on peut encore parler d'éducation et non de bourrage de crâne)...

 Les gens peuvent aussi se distinguer en fonction de leur décalage humoristique... Et c'est d'ailleurs sur ce point que je pense insister. Les autres étant à la portée matérielle et physique de presque tous... 

 Humour... Décalage. Des termes durs à saisir et à maîtriser puisqu'ils dépendent finalement des goûts de chacun. Il y a la notion de plaire. Il y a la notion de dégoûter, la notion de fixer l'attention, la notion d'instruir, la notion de divertir, la notion de donner un avis par un état d'esprit... Nous sommes tous égaux dans la crasse. Mais finalement égaux dans la manière à nous distinguer des autres. 
Humour fin, humour gras... Certains vont apprécier et d'autres vont vraiment disclaimer. Cependant cette notion de choix est tenue de mon avis par un certain tabou. Tabou ou complexe tel que vous le souhaitez. On ne peut apprécier ce qui nous vise, ce qui nous juge, ce qui nous concerne d'un point de vue venant d'une part ou d'autre. 

Quels tabous peut-on fixer de base... Le sexe, le poids, la taille, la religion, l'origine, la famille, le travail, la ou le conjoint(e) voire les deux si vous êtes polygames. Bref... Une liste d'ennemis ou d'amis, cela dépend pour qui...

J'explique mon idée. Quelqu'un de gêné, qui ne comprend pas ou qui n'accepte pas que l'on puisse rire de la religion (par exemple) va forcément réprimer et disclaimer une blague un peu réaliste  décalée quant aux excès de certains amis du clergé avec les petits enfants du cathé (je cite bien évidemment). 

Tout part d'un tabou ou d'un complexe. Normalement et imaginez, un monde delesté de tout tabou. Les gens se baladeraient nus, riraient de leur famille, de leurs proches, de leur conjoint(e)... Plus de tabou, plus de limite à l'humour. Cependant si nous pouvions TOUS rire de tout, aucune distinction ne serait plus faite. Il n'y aurait plus les pervers, les idiots, les anti-religion, les blaireaux, les kékés... Plus d'humour fin... Plus d'humour gras...

Nous serions tous sans tabous, puis finalement, sans tabou il n'y aurait plus d'humour a créé, puisqu'il n'y aurait plus rien dont on ne pourrait rire de désaccord. Nous ferions des débats pour parler de telle ou telle chose... Bref, un gros délire bien sectaire. Donc finalement que faudrait-il faire... ?

Garder ses tabous bien au chaud, ne pas refuser de rire à gorge déployée devant une blague un peu en dessous de la ceinture, accepter la critique, accepter l'humour des autres... Mais cela serait encore une utopie... Donc non... 

 Changez ou ne changez pas... De toute façon... Satisfaction totale ne pourra pas exister tant que l'homme, finement éduqué ne cessera de se contredire et de ne pas rire d'un peu tout...

 Une personne n'ayant aucun tabou, peut s'avouer maîtriser l'humour. Il ne craint plus aucune critique. Il est le vrai vainqueur de toute bataille... Et vous... Avez vous deja essayé de vaincre tous vos tabous... ? 

La lâcheté a un visage

A vous qui lirez ça....

 Voilà, le tour est joué... L'arroseur arrosé. Nos états aussi comptent alors voici le vif du sujet. Je vous ouvre mon coeur, mon âme. Je laisse cette fumée noire quitter mon état... Bonne noyade...

Désastre, cadavre et mirages...
Les plus beaux mensonges 
Traversant déserts et âges...
Plus rien ne vaudrait le moindre songe.

Je suis l'âme égarée 
D'un de ces errants
Qui vient de perdre une terre irigée
Perdant à peu près son titre de vivant.

Vous vouliez trouver ma faiblesse
Au fur et à mesure que l'on me délaisse
Je perds confiance et espoir
Aucun cauchemar plus pire qu'un miroir

A toi déchet humain
Tu ne sais plus te servir de tes mains
A dépendre de tes sentiments
Tu découvres le pire des amants...

Fine joueuse et terrible poison
Paranoïa et Jalousie
Vous avez fini par avoir raison
L'un crée le doute, l'autre cache votre vie

Vous voila fieres, dignes pecheresses
A démollir une vie de paresse
Vous noyez mon âme
Devastez et émousser ma lame

L'arroseur arrosé, cherchant la faille
Parfois lui aussi son chemin déraille
Allongé, délaissé, tué, éventré
Rayé de sa voie par un simple trait

A toi, maitresse de mon humeur
Tu vois aujourd'hui, moi aussi meurs.
A chaque lame, vient chaque couteau
Et aujourd'hui ma flamme s'en retire dans son étaut

Je fus le fier chevalier
Jusqu'au lamentable destrier
Du pommeau à la lame
J'ai perdu mon âme...


Aucun mot ne répondraient mieux à cette détresse. Jack s'en retourne dans son océan de maladresse... Dans la nuit et dans la tristesse.

Démonstration de Démocratie ?

 Amies démocrates et Amis démocrates,
Défenseuses des libertés et Protecteurs des droits,
Bonjour à vous, qui que vous soyez...

Nous revoilà ensemble, égaux, en droits, libres... Je me répète, nous voilà, ensemble, hypocritement, en droits, libres et égaux... Pas beau le lavabo...
Aujourd'hui, vous l'avez bien compris, je m'attaque ouvertement à ce que tout le monde appelle, la vie en démocratie... Je suis français donc je vis dans un pays démocratique... Et puis quoi encore... ? La démocratie... 
Quel beau nom, pour décrire cette situation, dans laquelle un peuple gouverne et dirige son pays, le peuple est souverain... Cela par le biais de principes philosophiques et politiques... Cependant, ce régime politique, qui nous paraît si libre... N'est-il pas finalement utopique ?
Je m'explique... Tout bêtement, aujourd'hui même... Nous, français pouvons-nous réellement selon la définition donnée par le dictionnaire, diriger comme nous le souhaitons le pays... Sommes-nous les maîtres des décisions prises tous les jours...
Je viens par critiquer la démocratie, car je ne me suis pas retenu sur les gouvernements totalitaires... Donc quite à frapper là où ça fait mal, autant frapper toutr la fraterie des gouvernements...
Alors certes, oui certes, je vous l'accorde, vous êtes bien contents de croire à une démocratie... De croire que vous êtes encore mâitre dans "votre" pays... Et c'est là que tout commence à clocher...
 Je ne suis pas entrain de critiquer nos dirigeants non... De toute manière, comme tout bon régime démocrate, il est vrai qu'ils nous écoutent tout le temps... Ou alors tout l'inverse...
Allez-y amis, ensemble nous allons rentrer dans le détail... Pur et brut...
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Donc comme définie précédemment, la démocratie est donc un régime politique, dans lequel le peuple est totalement souverain... Démos pour le peuple Kratos pour le pouvoir, merci les grecs...
Seulement, je ne comprends pas... On vote certes, mais c'est la seule chose que nous décidons finalement... Et encore, je dirais en précisant que nous votons seulement pour qui nous manipulera le mieux... Magnifique n'est-ce-pas... L'illusion du contrôle... Vous y avez cru ? Bien fait pour vous... 
Ne remerciez pas les gouvernants de vous traiter comme des sous merdes ( ce que certains sont réellement d'ailleurs... ), ils ont raison les fous... Vous êtes les seuls responsables de cette anti-démocratie... Un président, qui possède tellement de pouvoir, qu'il peut a tout moment demander à l'armée de venir chez vous, massacrer vos parents, violant vos soeurs et vos étagères... Bref.
Le pouvoir est encore une fois possédé par une seule personne... Certains diront, mais nous l'avons élu ! Bien sûr vous l'avez élu, mais lui, n'a surement rien fait qui vous plaisait depuis... Des réformes stupides, des hausses de salaire ( seulement ceux du cercle privé de Mr le président... )... Et en contre partie, votre "pouvoir" à vous, peuple... Il est de zéro... Un peuple de Zéros.
Les manifestations et les blocus n'aboutissent en rien... La preuve, on vous écoute tellement, que ce sont les chiens du président qui vous mitraillent avec flashball, canon à eau, et j'en passe, cela pour que vous fermiez votre gueule et que vous rentriez chez vous regarder TF1... Un bon système démocratique, qui repousse et réprime l'expression du peuple, de plus prônant un idéal de pensée... Et vous croyez encore en la démocratie... La sainte mère de l'égalité... ? Je vous applaudis, félicitations, vous êtes bien cons... 
Avouez que vous êtes auteurs de votre propre tombe, cependant si vous êtes là à me lire, à m'entendre... Il n'y a pas tout à refaire... La preuve même, vous en venez à dénoncer cette pseudo-démocratie... Dont chaque réforme, vous rapproche un peu plus du sol.... Dont chaque taxe mise en place par l'élan démocrate de l'Etat, vous ruine de plus en plus...
Beau mensonge cette démocratie... Ou en tout cas, bien joué à ceux qui l'ont mise en place... Leur coup fonctionne encore maintenant...
Des injustices écrasées par la censure et la répression... Non non, je n'exagère pas, demandez à Sarko la façon dont il refoule ses bons amis du salon de l'agriculture "Casse toi pov'con." Si l'homme avait voulu le poing, les macaques du plus grand nain français l'auraient surement mis en pièces... Belle image du pouvoir populaire...
C'est beau de croire au pouvoir du peuple,mais c'est faux... 
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Cependant, on pourrait dresser la liste des droits invétérés d'une démocratie... 
Alors je cite... Vous êtes les acteurs de la vie politique de votre pays... Humhum...
Vous pouvez décider des directions que prend le gouvernement... Et les manif' c'est du vent ?
Et pour finir, vous avez le droit de vote ! Mais pour voter quoi... ? Ou enfin pour qui pardon... 
Honnêtement... Un pays gouverné par un seul homme, élu ou pas par son peuple, utilisant une police pour réprimer, ne permettant pas aux arguments publics d'intervenir dans la mise en place de réformes... Ne serait-ce pas une dictature ? Ou un système totalitaire... ? 
Finalement, comme l'a dit un vieux sage de mon entourage.... "Le droit de vote a deux fonctions... Voter pour celui que l'on veut voir gouverner... Ou alors voter contre celui qu'on ne voudrait pas voir à la tête du gouvernement."
Effectivement, nos droits finalement seraient plutôt des moyens d'exclure ceux que nous ne supportons pas... Mais pas de choisir, nous restons "esclaves" d'une seule personne... Et même pire, esclaves d'un groupe de personnes ! Une petite oligarchie... De cadres pourris, de nabots pas beaux et de mannequins stupides et anorexiques. Félicitations... Encore ! 
Et à cette liste de droits minables, vient s'ajouter la déclaration des droits de l'Homme et du Citoyen, dans laquelle est bien déclarée : les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droit... Mais pour qui sommes-nous pris ? Je ne me sens pas égal à un membre du gouvernement... 
D'ailleurs aucun des articles n'est potable... Tous sont faussés, tous sont utopiques, trop beaux pour fonctionner... Nous vivons dans une illusion de A à Z. Démocratie sans portée ni valeurs... Menteurs pour menteurs, pourris pour pourris... 
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Si l'on pouvait réellement dresser le portrait d'une démocratie, ça ne serait cependant pas dans notre Europe, on a beau le croire et le dire, non, nous ne sommes pas dans des régimes démocratiques... 
Le jour où le gouvernement tremblera sous la voix du peuple et non pas l'inverse... Là, nous serons réellement dans une démocratie....
Cependant, nous sommes encore là, nous, ensemble, à m'écouter débiter ce que vous ne voulez pas croire... 
A très bientôt... 
"Avoir des esclaves n'est rien... Mais ce qui est intolérable, c'est d'avoir des esclaves en les appelant citoyens."
Denis Diderot